Des « migrants » expulsés de leur squat ont « réquisitionné » le presbytère de la paroisse Sainte-Marie de Doulon, à trois kilomètres de là, à l’est de Nantes. (En français : le groupuscule gauchiste de soutien aux clandestins s’est emparé d’un presbytère pour loger les dits clandestins, faisant ainsi d’une pierre deux coups, pour l’immigration clandestine et contre l’Eglise catholique.)
« La veille de Noël, des paroissiens, ainsi que l’évêque, sont venus apporter chocolat chaud et friandises à ces hommes de confession musulmane », dit France TV info.
Il y a trois grandes mosquées à Nantes. Mais sans doute s’y occupe-t-on déjà des migrants chrétiens…
Commentaires
Ce que j'aime par dessus tout, dans cette dépêche d'agence, reprise par FTVI, c'est le "ainsi que l'évêque". Quand parle-t-on des évêques dans les médias? Jamais, sauf dans des cas comme celui-ci. : c'est l'immigré squatteur qui confère à l'évêque le brevet de légitimité médiatique en lui donnant la visibilité qui lui échappe autrement. Avez-vous remarqué, par exemple, comment, dans les débats (nombreux) suscités à la radio et à la télé par "François" et ses volontés de réforme ( on ne dit plus et depuis longtemps Sa Sainteté, titre réservé a,u Dalai Lama), .on convoque toutes sortes d'"experts en "choses religieuses" (un peu toujours les mêmes d'ailleurs), mais surtout pas des évêques...Gaillot avait servi de sas durant un certain temps, mais comme plus personne ne sait à quoi le rattacher, il a disparu des radars. Je serais injuste si j'omettais le "contre-exemple Vingt-Trois" : là, le 15 août 2012, l'archevêque a su parler haut et clair et simple; et on l'a reçu 5 sur 5, y compris dans les médias. Mais, comme disent les anglo-saxons, c'est un "one shot gun"...