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Il a découvert le trésor qu’on lui avait caché

L'abbé Antoine-Marie Petit, 34 ans, est arrivé à Arreau (Hautes-Pyrénées) il y a un an et trois mois. Depuis septembre dernier il célèbre la messe de saint Pie V dans l’église du village tous les dimanches à 18h. La Dépêche du Midi (de la famille Baylet, rad-soc laïcarde de choc) lui consacre un article d’autant plus étonnant qu’il est sympathique. J’en extrais seulement les propos du prêtre :

« Cette messe m'a été demandée par des fidèles. Ce n'est pas un retour en arrière, mais une découverte. J'avais l'impression qu'on m'avait caché un trésor. Et un trésor, c'est fait pour être partagé.»

«Tous les prêtres peuvent dire cette messe. Benoît XVI a rendu cette pratique possible en juillet 2007.»

«Une messe, c'est public. Vient qui veut. Lors d'une messe en français, on fonctionne avec l'intellect. Avec une messe en latin, on comprend au niveau du cœur. Il n'est pas nécessaire de connaître le latin. On rentre dans une prière qui ne nous appartient pas et c'est très beau.»

(Via Paix liturgique)

Commentaires

  • L'abbé Petit a tout compris. Et il y a de plus en plus de jeunes prêtres qui se posent la question de retour à la messe de toujours. Ce qui fait très peur aux vieux prêtres soixante-huitards crispés dans leur idéologie et aux progressistes de tout poil. Plutôt crever que de reconnaître s'être lamentablement trompés.

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