Revoilà Jean Leonetti, en duo cette fois avec le socialiste Alain Claeys. Jean Leonetti avait pondu cette loi votée à l’unanimité qui prétendait que l’hydratation et l’alimentation étaient des « soins » qu’on pouvait arrêter : une forme d’euthanasie devenait légale.
Rebelote avec les duettistes. Le rapport qu’ils ont remis à François Hollande fera l’objet d’une loi rendant légale une autre forme d’euthanasie, et même un « droit » à l’euthanasie : le droit à une « sédation profonde et continue » jusqu’à la mort. C’est la sédation profonde terminale, le meurtre en douceur (à ne pas confondre avec la sédation réversible en phase terminale).
L’autre aspect de la future loi est de rendre obligatoire le respect de la « directive anticipée » par laquelle une personne en bonne santé déclare qu’on ne doit pas la réanimer. Il y aura un « modèle standardisé ». Si l’on voulait respecter la personne humaine et la vie, on devrait imprimer sur tous les formulaires la protestation de Philippe Pozzo di Borgo, qui inlassablement témoigne de son bonheur de ne pas avoir été débranché alors que, lorsqu’il était en pleine santé, il aurait signé une directive pour ne pas être réanimé.
Commentaires
"le droit à une « sédation profonde et continue » jusqu’à la mort. C’est la sédation profonde terminale, le meurtre en douceur (à ne pas confondre avec la sédation réversible en phase terminale)."
Par définition la loi pondue par la franc maçonnerie française à travers le monsieur Leonetti prend pour clef de voûte la notion de « soins ». Qui dit soins dit soigner par défaut, donc la loi dit ici en substance "arrêter les soins" donc les "MEDICAMENTS" est l'égal.
J'insiste sur ceci: "arrêter DONC TOUS LES MEDICAMENTS" cela veut dire aussi" ne plus DONNER AUCUN MÉDICAMENT ».
Or la « “sédation profonde et continue” jusqu’à la mort » pour la réaliser oblige le médecin à administrer « per os » ou par « voie injectable » justement des MÉDICAMENTS.
OR LA LOI INTERDIT TOUT SOIN DONC AUSSI L'ADMINISTRATION DE CES PRODUITS EUTHANASIANT, QUI SONT DES MÉDICAMENTS.
Car accepter d'interdire au nom de la loi « tout médicament » « tout soin » c'est aussi interdire par défaut l'administration de tout médicament d'euthanasie.
Je crois que ce monsieur Leonetti devrait revoir sa pharmacopée et repasser plus qu'un DLU, car ses compétences en ce domaine sont faible ou plutôt il pense que les gens sont des c***, pensant qu'on ne sait pas qu'un euthanasiant est un médicament.
C'est très logique et bien vu, mais la raison et la logique n'ont plus prise sur ces pervers déterminés à pousser leur culture de mort jusqu'au bout.
Les médecins devenus des tueurs, ils ont commencé à prescrire la pilule et le stérilet, puis à avorter, puis à euthanasier, obéissant à des lois sataniques.
LA QUESTION DE L’HYDRATATION ET DE LA NUTRITION
Point très important : dans ces trois cas, les élus insistent sur le fait que la sédation devra être associée à l’arrêt de tout traitement, notamment la nutrition et l’hydratation artificielles. « Ne pas associer ces deux actes médicaux serait incohérent, les effets de l’un contrariant les effets de l’autre », écrivent les députés. (Dans La Croix)
1-Niveau médicament :
« La sédation devra être associée à l’arrêt de tout traitement ». Ici la loi se mord la queue, car la sédation est par définition un traitement par lui même. Donc puisque c’est un traitement (car médicament) il ne peut-être administré, car comme ils disent « La sédation devra être associée à l’arrêt de tout traitement ».
2-Niveau aliment :
« La sédation devra être associée à l’arrêt de tout traitement, notamment la nutrition et l’hydratation artificielles. “Ne pas associer ces deux actes médicaux serait incohérent, les effets de l’un contrariant les effets de l’autre” »
C’est totalement faux de prétendre que « la nutrition et l’hydratation artificielles » sont des traitements et partants des actes médicaux (voir le mot « notamment »). Car cela voudrait dire que tout homme qui mange, soit sous forme liquide ou solide, ou boit de l’eau est sous traitement !
Par ailleurs l’acte de boire ou de manger n’est jamais « artificiel », mais naturel. Car si c’est par le fait qu’ils ne savent plus boire ou manger « par eux-mêmes » qui fait que l’on peut déclarer l’alimentation « artificielle » ; ils peuvent faire le même raisonnement avec les bébés quand ils boivent « artificiellement » le lait, car eux aussi ne sont capables de rien par eux même.
Donc le Président de la France et ses ministres quand ils déjeunent à l’Élysée et qu’il s’hydrate avec le vin ou l’eau sont sous traitement !
Quand ils mangent ensemble une forme liquide, « milk-shake » (ou lait frappé) de Nutella, de banane ou de fraise, ils sont sous traitement.
Ces ministres se moquent vraiment du monde.
Pour moi cette loi relève du délire pur et simple !
Et s'ils obligent les médecins à tuer intentionnellement quelqu'un, comment ceux-ci vont-ils s'arranger avec leur conscience tout d'abord, et avec le serment qu'ils ont prêté (de ne jamais donner la mort) pour pouvoir être médecin ?
Beaucoup de médecins n'ont pas une conscience éclairée. L'Etat et les facultés de médecine font tout pour les préparer à devenir de bons prescripteurs de contraceptifs, de bons avorteurs et de bons euthanasieurs. Que pensez-vous de l'obligation qui est faite aux étudiants en médecine, aux élèves sage-femme et infirmière de participer à un ou plusieurs avortements pendant leurs stages d'études? L'objection de conscience est de plus en plus bafouée et sera tôt ou tard supprimée. L'avortement est devenu un "droit" (pas pour le bébé assassiné).