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Hanna Hopko

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Hanna Hopko, avec broderies ukrainiennes, sur fond de reproduction du drapeau ukrainien offert par Zelensky au Congrès américain, explique que les frappes russes sont très précises, et elle cite un entrepôt de missiles Storm Shadow ainsi que des zones de stockage d’armes.

Ce n’est évidemment pas pour démentir la propagande ukrainienne selon laquelle les Russes bombarderaient les civils. Néanmoins elle le fait, et de façon catégorique.

Mais c’est pour dénoncer le fait que des Ukrainiens renseignent l’armée russe. Et si elle en parle, au risque de démentir sa propre propagande, c’est que le phénomène s’aggrave…

Hanna Hopko n’est pas n’importe qui. Lors de la révolution de Maïdan, elle était une dirigeante de Hromadske Sektor, Secteur civique, qui contrairement à Pravy Sektor, Secteur droit, ouvertement nazi, se donnait une image modérée. Un rapport de l’UE disait qu’il jouait « un rôle déterminant pour que le processus révolutionnaire soit aussi peu politique que possible, notamment en catalysant les énergies et la violence potentielle vers une protestation non violente ».

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En réalité plusieurs de ses dirigeants (désignées par un cercle sur la photo) se retrouveront ensuite très impliqués dans la politique néo-nazie du gouvernement et du parlement ukrainiens. Dont Hanna Hopko (tout à gauche sur la photo), qui devient député (jusqu'en 2019), et cofondatrice du « Paquet de réformes de réanimation », coalition d’ONG financée par les Etats-Unis, le Canada, l’UE, le programme de développement de l’ONU, etc., partie prenante de la Conférence internationale de réforme de l’Ukraine qui s’est tenue à Toronto à partir de 2019.

Hanna Hopko avec Chrystia Freeland, vice-Premier ministre du Canada, militante bandériste comme son grand-père qui était un authentique nazi ukrainien :

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Mais elle converse aussi avec Nancy Pelosi (à Washington en 2022), et elle accompagne Jobidon à Kiev en 2014 :

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En 2020 Hanna Hopko a participé au mouvement de protestation contre Zelensky, organisé par le « Mouvement de résistance à la capitulation » que dirigent des néo-nazis et dans lequel elle est impliquée, répétant le slogan « Un an de Zelensky, un an de revanche » (pro-russe). Sic.

Elle est aujourd'hui présidente de "Démocratie en action" et participe au "Centre international de la victoire ukrainienne".

Commentaires

  • Entre les russophones et tous ceux qui ont été victimes d'exactions ukraino-otaniennes et la population ukrainienne qui voit bien qu'ils sont utilisés et que leur vie est devenu un enfer sans imaginer que c'est pour leur bien, ça doit faire du monde prêt à renseigner les russes.
    Etrangement, il ne semble pas y avoir de tels informateurs en zone aux mains des russes, comme si ceux qui y habitent avaient choisi leur destin, eux.

  • Cette pétroleuse dit cela pour justifier la répression de la dictature ukronazie contre les opposants, y compris le clergé et les fidèles orthodoxes. Les Russes n'ont pas besoin de ces renseignements, les photos satellite suffisent amplement. Et c'est risqué de fournir des renseignements par moyens de communication qui sont contrôlés et espionnés par les ukronazis avec l'aide des spécialistes otanesques. Les "démocrates" au service des dictateurs. C'est devenu la règle dans ce monde de menteurs criminels..

  • Les satellites ne voient pas ce qu'il y a dans les camions et les wagons. Et les gens voient ce qu'il y a à côté de chez eux, alors que les images satellites doivent être analysées.

  • En effet, mais ils voient quand on les décharge, ce qu'ils déchargent et où. D'ailleurs, il doit y avoir suffisamment d'espions pour ne pas mettre en danger des civils pro-russes qui se feraient pincer à coup sûr.

  • Des petits drones espions peints en Bleu PRU, feraient peut-être du bon travail, sans être trop coûteux.

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