L’Agence nationale ukrainienne du cinéma annonce une bonne nouvelle : le film Leçons de tolérance, qu’elle a grassement subventionné avec vos sous, et qui est sorti en salles le 14 février dernier, pourra être vu sur la plateforme Netflix à partir du 8 mai.
Le film est une adaptation de la pièce de théâtre sobrement intitulée Gay Pride. Le scénario est ainsi résumé sur le site de réfférence IMDb :
Dix leçons difficiles dans un minuscule appartement en Ukraine. Nadia, enseignante, lance un programme d'acceptation des LGBT+ financé par l'UE. Une famille typiquement intolérante décide avec hésitation de s'inscrire pour recevoir des compléments financiers alléchants. Leur tâche consiste à passer 24 jours sans alcool avec Vasyl, qui est gay mais peut aussi être le meilleur ami, un parent oublié depuis longtemps, un bon thérapeute, un travailleur social attentif ou un plombier photographe. Zenyk, mécanicien amateur de bière, Diana, actrice d'un théâtre qui n'a jamais vu le jour, et Denys, impatient et agressif, apprivoiseront la haine et l'envie. À travers des jeux amusants, ils en apprendront sur l'homophobie, l'égalité, l'empathie, la discrimination sexuelle et l'épanouissement personnel. Une mosaïque ironique et provocante de sketches forme progressivement un labyrinthe continu d'humour noir, de tendresse et de sarcasme plein d'esprit.
Une belle leçon de morale, imprégnée des valeurs de l’Union européenne (y compris le chantage financier), pour préparer les Ukrainiens à être de vrais Européens.
Commentaires
''Fabuleux'', si l'on peut s'exprimer ainsi !
Soyons reconnaissants à ces gens-là de s'afficher tels qu'ils sont. Avec eux, même en manipulant les autres, le naturel revient au galop !
L'opération spéciale aura permis de savoir, sans se tromper, où se trouve la civilisation...
"Leur tâche consiste à passer 24 jours sans alcool avec Vasyl, qui est gay."
Sans alcool, la fête est plus folle ! Avec Vasyl, prévoyez la vaseline ! Sois gay, ris donc !
En principe, la propagande moderne a été inventée (par Edward Bernays, double neveu de Sigmund Freud et grand-oncle de Marc Randolph, le créateur de Netflix) pour contrôler les masses dans les Etats démocratiques. "Ils" ont amélioré le système en détruisant l'école, devenue une fabrique de débiles qui obtiennent le baccalauréat avec un niveau qui ne leur aurait jamais permis de décrocher le certificat d'études primaires il y a un siècle. Je peux aussi dire par expérience que le masquage des gamins sous prétexte de covid n'a rien arrangé. Nous accueillons enfin dans presque toutes les classes de collèges et de lycées des attardés mentaux qu'on ne fait jamais redoubler, qui sont parfois incapables de comprendre que deux et deux font quatre, chapeautés par des bonnes femmes qui sont parfois trois à encombrer la salle de classe, et qui dans un système éducatif bien conçu iraient apprendre à lire et à écrire dans une institution spécialisée au lieu de venir freiner, parce que c'est le mot, un groupe de trente élèves déjà pas bien brillants. Mais comme disait Fernand Raynaud, "c'est étudié pour"...
Evidemment, c'est étudié pour. C'est pas cette génération-là qui va obliger les candidats à la présidentielle française à exiger un contrôle des "résultats" validés par l'INSEE, quand une pourriture que tous les Français voudraient voir crever la gueule ouverte "remporte" par deux fois des élections truquées !
"pour préparer les Ukrainiens à être de vrais Européens" Si cela continue, ils vont être de frais Européens, mais morts.