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Cancer du cerveau et culture de mort

Le débat sur l’euthanasie est relancé (selon la formule bien connue) aux Etats-Unis par le les vidéos du suicide annoncé et réalisé par Brittany Maynard, une jeune femme de 29 ans atteinte d’un cancer au cerveau.

Jeanne Smits raconte cela et, en contrepoint, l’histoire d’un séminariste qui est lui aussi atteint d’un cancer au cerveau mais qui témoigne, et a témoigné en vain auprès de Brittany Maynard, de la valeur de la vie et de la souffrance.

Commentaires

  • Merci à Jeanne Smits de donner le témoignage du séminariste, le seul qui vaille la peine d'entendre. Que Dieu le guérisse pour qu'il puisse être ordonné et s'Il ne le guérit pas, ce séminariste pourra intercéder pour notre monde de cinglés.

  • Ce qui est mauvais dans ce dossier,c'est la publicité faite à l'euthanasie;maintenant,comment réagirions-nous si nous étions dans ce cas,cancer du cerveau!Quant à la valeur de la souffrance,je n'y crois pas,il faut toujours la soulager par des drogues sinon les hommes se transforment en pauvres choses hurlantes de souffrance au final,c'est cela la réalité.

  • Amédée: "Quant à la valeur de la souffrance,je n'y crois pas"
    Vous devriez en toucher 2 mots au Christ...

  • Il ne s'agit pas de souffrir pour souffrir, la souffrance est rédemptrice, sinon Jésus nous aurait sauvé par un autre moyen. Pour un chrétien accepter sa souffrance c'est porter sa croix... cependant on doit tout faire pour soulager le malade et les calmants existent dès qu'ils ne procurent pas l'euthanasie, la morale ne les interdit pas.

  • les calmants sont licites, même s'ils peuvent hâter la mort du malade : leur but est de le soulager
    c'est la doctrine constante de l'Eglise depuis que le problème s'est posé

  • Je n'ai pas suivi ce cas en détail, mais il semble que cette femme ne souffrait pas, mais avait peur de souffrir.

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