Le Vatican a offert 100.000 euros à la Fondation Auschwitz-Birkenau fondée en 2009 par le faux « professeur » Wladyslaw Bartoszewski pour financer un programme de « préservation » à long terme du site.
« Compte tenu de nos possibilités limitées, cette somme n'est pas très importante. Néanmoins, c'est l'expression d'un soutien entier au projet de la Fondation Auschwitz-Birkenau », dit en s’excusant le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d'Etat du Saint-Siège.
Mais l’Eglise n’a pas à soutenir cette fondation. Les carmélites avaient restauré gratuitement un bâtiment d’Auschwitz pour en faire un carmel où l’on priait pour toutes les victimes, tout près de la cellule de saint Maximilien Kolbe. Les lobbies juifs antichrétiens ont chassé les carmélites. S’ils ne veulent pas des chrétiens, je ne vois pas pourquoi les chrétiens devraient leur donner de l’argent. C’est déjà aberrant que le gouvernement français, celui de Sarkzoy-Fillon, ait donné 5 millions d’euros, pris dans notre poche, à cette « fondation » privée qui est censée « soutenir » le musée d’Etat d’Auschwitz.
Commentaires
Une anecdote à Auschwitz.
Il était une fois, vers le milieu des années 90. A l'invitation d'une asbl belge, les professeurs d'histoire étaient invités à visiter Auschwitz durant les vacances de Pâques. Dans une école secondaire, plusieurs collègues s'y sont intéressés. Certains y sont allés.
Sur place, on a visité les deux sites de détention : la grosse caserne autrichienne assez proche de la localité et le très vaste camp de Birkenau, érigé en périphérie ; une sorte de zoning industriel exterminateur. Monstrueux.
Et la caserne ? De mémoire, elle forme un grand quadrilatère avec des clôtures ou des murs d'enceinte. Dans un coin, loin de l'entrée, on trouve une cour entre deux bâtiments et un mur de fond. Elle a servi pour des exécutions. De ces deux bâtiments-là, celui vers la droite (en regardant les façades) a été une prison dans la prison.
Tout à côté, mais hors des murs de l'enceinte, un ancien mess officiers, ancien théâtre, ancien dépôt, puis couvent de Carmélites. Le fameux couvent incriminé à l'époque.
Le groupe étant arrivé devant cette prison dans la prison, après le laïus du guide polonais, quelqu'un a eu la naïveté de lui demander si c'était là que le père Maximilien Kolbe avait perdu la vie…
Grand scandale dans l'assistance : cette question était perçue comme une indécence incroyable. En un instant, ce particulier s'est trouvé isolé et stigmatisé de-ci de-là à haute voix.
Grande gêne du préposé qui, suite à l'insistance du demandeur, a fini par oser répondre à cette question anodine, tenue pour blasphématoire par la majorité de l'assistance.
"quelqu'un a eu la naïveté de lui demander si c'était là que le père Maximilien Kolbe avait perdu la vie…
Grand scandale dans l'assistance : cette question était perçue comme une indécence incroyable. ….Grande gêne du préposé qui, suite à l'insistance du demandeur, a fini par oser répondre à cette question anodine, tenue pour blasphématoire par la majorité de l'assistance."
Monsieur Delmotte, pourriez-vous m'expliquer pourquoi cela a été tenu pour blasphématoire? Je ne comprends pas du tout la logique de ce groupe.
Et alors vous n'avez pas vu la cellule du P. Kolbe ? C'est bien dommage, car c'est un vrai lieu de grâce.
Tout a fait d'accord avec votre "Pas d’accord".
Mais en temps que Catholique.
- A Ondin.
J'ai compris à cette occasion que l'asbl organisatrice n'était pas seulement juive mais hostile aux chrétiens. Présentés par eux, les lieux sont à eux. Les autres sont quantités négligeables.
De plus, les cornacs du groupe étaient aussi nombreux que les "encadrés".
- A Yves Daoudal.
Non, ce lieu-là n'a pas été visité.
Pour un motif qui ne me revient pas à l'esprit, ce jour-là, nous ne sommes pas entrés dans le bâtiment.
on dit de cela : payer un tribut
"tribut : ce qu'un Etat paie à un autre en signe de dépendance" Le petit Larousse