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Le Conseil d’éthique allemand professe la discrimination sexuelle et l’homophobie !

Le Conseil d’éthique allemand, par 14 voix contre 9, estime qu’il faut dépénaliser les relations sexuelles entre frères et sœurs, car « la loi pénale n’est pas le moyen adapté de protéger un tabou social » ni « d’imposer des standards ou des barrières morales ». Et il argumente que le risque de sanctions contraint les couples concernés « au secret et à la négation de leur amour », ce qui est contraire au droit à « l’autodétermination sexuelle ».

Il s’agit explicitement de « l’inceste entre frère et sœur ».

Le Conseil d’éthique allemand paraît ainsi imposer l’inceste hétérosexuel, ce qui est une insupportable discrimination envers les incestes homosexuels, et une évidente manifestation d’homophobie.

Il est également insupportable de limiter l’inceste à deux personnes, alors que par nature la famille permet de multiples combinaisons incestueuses selon le droit à « l’autodétermination sexuelle ».

Commentaires

  • Bonsoir,
    Où va-t-on?
    Si ceci n'est pas une incitation au vice, je n'y connais plus rien.
    Sans nulle doute nous aurons, bientôt, une réponse à cette débauche des relations entre personnes dans la famille.
    DIEU ne permettra pas que le péché ravage d'avantage l'institution sacramentelle du mariage.
    Attendons-nous à un sérieux retour de flamme!
    En attendant ce jour, prions Notre Seigneur JÉSUS-CHRIST, le Fils de DIEU, pour qu'Il nous trouve vigilant dans la prière, pour combattre cette déferlante qui s'abat contre la vraie et unique Famille chrétienne.
    Merci!
    JFL

  • Si l'on parle d'inceste, les relations entre frère et sœurs sont minoritaires. La majeure partie des relations intrafamiliales se font entre oncle et neveu ou nièces, beau-père ou belle mère et "enfants", ou plus fréquemment qu'on ne le croit entre père et filles et père et fils.
    Dès lors effectivement, pourquoi cette discriminations.
    Les relations pédosexuelles, éphébosexuelles et homosexuelles ne sont pas, loin s'en faut, le privilège des curés. beaucoup (la majorité?) sont intrafamiliales.

  • Il est évident que dans une stratégie globale, on peut penser qu'une loi concernant les relation entre frère et sœur sera plus facile à faire passer qu'une relation entre deux frères ou deux sœurs. De plus la présence éventuelle d'enfants permet de faire vibrer la corde sensible et d'invoquer (à tort) les droits de l'enfant.
    L'étape suivante sera au choix la polygamie ou les relations père-enfant.

  • NON et NON.
    Changer une loi ne rend jamais « normal » ce qui ne l'est pas. C'est une absurdité.
    Que des relations pathologiques entraînent de la souffrance, je l'admet sans peine. Mais c'est une illusion ou un mensonge de croire que changer la loi réduira la souffrance.  Lorsque souffrance il y a, elle est liée à une transgression d'une loi morale inscrite au plus profond de chaque être humain. Ce ne sont pas les textes de loi qui poussent « au secret » mais la conscience individuelle d'une perversion.

  • La recherche délirante d'une volonté de toute puissance du subjectivisme libertarien, hédoniste et relativiste, est effectivement une pathologie grave dont il faut protéger la société. Il y a de vrais malades mentaux qui courent hors des asiles.

  • Keksako que ce « droit à ''l'autodétermination sexuelle''. » ?
    Où va-t-on s'arrêter dans les délires pervers. Ces gens sont vraiment malades et à interner d'urgence.
    Il y a vraiment des personnes qui ont la haine de toute « normalité » parce que cela brime leur tout puissant désir de liberté.
    Il y a vraiment des personnes qui ont de gros problème avec leur père et avec la loi.
    Mais nous ne sommes pas obligés de les suivre dans leur délire ; c'est même le plus mauvais service à leur rendre.

  • C'est bien la recherche "prométhéenne" du défi contre "la divinité" et la révolte contre toute "normalité", contre toute "loi naturelle", contre tout ce qui extérieur à mon vouloir subjectif pourrait limiter qui pousse à cette démarche.
    C'est effectivement le rejet de tout père existant avant moi et au dessus de moi; C'est le rejet de toute règle pouvant limiter la jouissance. Ou plutôt c'est la règle impérative, dictatoriale, totalitaire de l’hédonisme obligatoire. Il s'agit de déclarer "anormal" ce qui n'est pas jouissance, qui devient le "canon moral" obligatoire.

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