Dans « un texte audacieux de 24 pages, traduit en cinq langues », comme le dit La Croix qui en fait l’apologie, l’évêque d’Anvers, Mgr Johan Bonny, se sert en permanence des propos de François pour définir ce qu’il attend du synode sur la famille, et ce qu’il en attend est très exactement à l’opposé de la tradition et du magistère de l’Eglise.
Commentaires
C'est un embergoglio permanent !
Bonjour,
J'avais suggéré, pour ma part : "im-ber-bro-go-glio".
Bonne journée.
A Z