François Hollande avait demandé à Manuel Valls de « composer un gouvernement de clarté ».
Il a été exaucé.
La nomination d’Emmanuel Macron à l’Economie et de Najat Belkacem à l’Education (mais si : « nationale » !) donne en effet une image précise, quasiment typologique, du socialisme actuel (de l’UMPS).
A l’Economie, on met un employé de Rothschild, qui n’a jamais été élu mais était le conseiller économique du président de la République, celui qui lui disait comment faire pour ne pas se mettre mal avec Bruxelles : on ne nomme plus une personnalité politique à l’Economie, parce qu’on a totalement abandonné le domaine économique à Bruxelles et à l’euro-mondialisme (Macron participait bien sûr à la dernière réunion du groupe Bilderberg). Finies les gamineries démagogiques de Montebourg, on affiche franchement la véritable ligne.
Et l’on poursuit le combat idéologique de la culture de mort, contre la vie, contre la famille, contre l’humanité elle-même, de façon emblématique, en nommant Najat Belkacem à l’Education « nationale » : une militante forcenée du « droit » à l’avortement et de l’idéologie du genre. Vincent Peillon, avec sa vieillerie laïcarde et jauressoïde de religion républicaine antichrétienne, est enfoncé. Désormais on a, à la tête du corps enseignant de notre pays, une figure de proue de la déséducation, de la destruction de toute éducation, de toute possibilité même d’éducation.
On notera aussi que le nouveau ministre de la Culture, Fleur Pellerin, est exactement du même acabit : le domaine de la culture est confié à quelqu’un qui représente l’impossibilité radicale de toute culture.
Et pour bien souligner la chose, ce sont deux femmes (puisque l’idéologie du genre n’a pas encore déconstruit le féminisme), une Marocaine et une Asiatique : histoire de rappeler que la « diversité » est elle-même idéologique.
Commentaires
Toutes les qualités qu’on attribue au nouveau gouvernement, ces abrutis oublient qu’elles manquaient donc à l’ancien ; le pauvre Zayrault… pas clair… pas resserré… pas de combat… pas uni… Quand je pense que lui et quelques autres (Hamon…) tenaient Flanby dans leurs serres : il suffisait (hum…) qu’ils ne reprennent pas leur siège de députain (grâce à la loi de caste de Sárközy) pour faire passer la majorité PS en-deçà de 289 sièges… Belle vengeance ! mais qui coûterait une prébende…
Bon, bref, édifié par la réussite de son appariement pédérastique – qui a mobilisé en vain les foules, faisant tout oublier, tout le reste –, Flanby s’est doté de deux boute-en-train, la Marocaine Belkacem, tête à claques, et la Coréenne dite “Pellerin” – véritable double de travelot – ; comment ? b’en oui, chargées d’exciter la population, cristallisant toutes les haines, ces tartes leur (Flanby et les eurofédérastes) permettra de la (population) mettre, sans même qu’elle s’en rende compte…
[Boute-en-train : pour ceux qui en ignorent le sens premier – comme moi quand j’étais jeune… –, voir http://tinyurl.com/kqwqw6s !]
c'est à désespérer!