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Saint Dominique

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Dante, La divine comédie, Le Paradis, chant XII, traduction Auguste Brizeux, éd. 1846.

Commentaires

  • Dommage qu'on ne lise pas la Divine Comédie dans le texte original. Il paraît que c'est superbe. Pie XI, grand lettré, connaissait par cœur la Divine Comédie, ainsi que d'autres classiques (Manzoni, Jules César...). Il doit y avoir une erreur dans les notes. Dominique n'a pas vécu du temps de Boniface VIII, mais bien du temps d'Innocent III, un siècle avant.

    Je critiquerais Dante, aussi, pour ce vers : "Faute dont je n'accuse pas le saint-siège, mais celui qui l'occupe et qui forligne." Cette distinction entre le Siège et son occupant est trop facile, et indue. C'est l'occupant qui est évêque de Rome, et non son fauteuil. Critiquer l'un, c'est critiquer l'autre. C'est comme les jansénistes qui en appelaient du pape mal informé au pape mieux informé...

  • Dante critique ici le pape régnant, qui est bien Boniface VIII. C'est pourquoi Brizeux met fort à propos cette phrase entre parenthèses: c'est un commentaire de l'auteur.

    Ne tentez pas de faire passer mon compatriote et excellent poète (c'est pourquoi sa traduction est meilleure que celle de Lamennais) pour un crétin, merci.

  • Effectivement j'avais mal compris le propos de Dante. Il m'a fallu le relire deux ou trois pour comprendre que vous aviez raison. Mais ma remarque sur la distinction entre le Siège et celui qui l'occupe (Boniface VIII donc) demeure.

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