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Une avancée de la culture de mort au Conseil de l’Europe

La branche européenne de la Fédération internationale du Planning familial avait déposé une plainte contre l’Italie auprès du Conseil de l’Europe, au motif que les médecins italiens « abusent » de leur droit à l'objection de conscience pour ne pas pratiquer d’avortements, et qu'il faut donc déclarer que la loi italienne « viole le droit à la santé » (sic).

Par 13 voix contre 1, le Comité des droits sociaux du Conseil de l’Europe a approuvé la plainte et s'engage à vérifier que l'Italie prendra les « mesures nécessaires » pour appliquer pleinement le droit à l'avortement.

Or cette décision est contraire à résolution du Conseil de l’Europe lui-même sur le droit à l’objection de conscience, affirmant que « nul hôpital, établissement ou personne ne peut faire l'objet de pressions, être tenu responsable ou subir des discriminations d'aucune sorte pour son refus de réaliser, d'accueillir ou d'assister un avortement ».

(Via le blog de Jeanne Smits, où l’on trouvera des détails.)

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