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L’anarchie dans l’Eglise, suite

Il n’y a toujours aucune réaction magistérielle à l’annonce de l’archidiocèse de Fribourg-en-Brisgau que les divorcés remariés pouvaient recevoir la communion eucharistique. (Ce qui est pourtant une gravissime rupture de la communion catholique.)

On découvre à cette occasion que dans ce diocèse les divorcés remariés ont droit à une bénédiction à l’église, "avec remise de cierge"…

Mgr Zollitsch donnera une conférence de presse demain « sur le pontificat de François et les questions actuelles dans l’Eglise catholique »…

(Rappel : "L'Église, qui ne peut s'opposer à la volonté du Christ, maintient fermement le principe de l'indissolubilité du mariage, tout en entourant de la plus grande affection ceux et celles qui, pour de multiples raisons, ne parviennent pas à le respecter. On ne peut donc admettre les initiatives qui visent à bénir des unions illégitimes." Benoît XVI aux évêques français, à Lourdes, le 14 septembre 2008.)

Commentaires

  • Pour rappel! http://christoskurios.canalblog.com/archives/2013/06/16/27446785.html !

  • L’Église n'a pas à faire la promotion du remariage.

    Mais pour donner la communion, quel prêtre est capable de faire la distinction entre ceux qui sont véritablement mariés devant Dieu, et ceux qui ne le sont pas?

    Il y a aujourd'hui des couples légalement mariés et en réalité non unis par le cœur. Et des couples non mariés, voir remariés (et comment savoir si leur premier mariage était valide?), qui s'aiment réellement en Dieu. Et même quelques couples qui vivent sous le même toit comme frères et sœurs (et pourraient, sur les apparences, être injustement condamnés).

    Un prêtre devrait donner l'Eucharistie sans se préoccuper de la situation matrimoniale, laisser chacun face à sa conscience, et à Dieu le soin de juger le fond des cœurs.

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