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14e dimanche après la Pentecôte

Dans la collecte, nous confessons à Dieu notre extrême misère. Cette superbia vitae qui forme l’orgueil des mondains est appelée aujourd’hui dans la sainte liturgie humana mortalitas, laquelle, par conséquent, sans Dieu labitur, c’est-à-dire succombe à la misère, au mal. Nécessaire donc est la divine grâce pour la soulever et la soutenir. Et nous, aujourd’hui, nous l’implorons bien abondante, cette grâce, sur nous-mêmes et sur toute l’Église, afin qu’elle s’oppose comme un bouclier aux attraits du mal, que ceux-ci ne nous séduisent pas, et qu’elle nous pousse à faire notre salut moyennant des actes vertueux, méritoires pour la vie éternelle.

Combien sont profondes, au point de vue théologique, ces collectes dominicales du Missel, et avec quel fruit la prière antique tirait son inspiration, plutôt que du sentiment, des sources très hautes de la doctrine révélée !

Bienheureux cardinal Schuster

Commentaires

  • C'est aussi la saint Louis:

    « France bafouée et trahie, mais France à l’honneur exalté. France que l’on veut pervertir, mais France qui se redresse.

    France accablée, mais France debout, mais France résistante, France ardente. France veilleuse, France merveilleuse.

    France retrouvée qui marche vers son printemps. France portée par la grâce. France qui chante l’Espérance.

    France éloquente malgré le silence qu’on veut lui imposer. France jeune. France frondeuse, fougueuse, enthousiaste, imaginative, débrouillarde. France habitée par le sourire de l’ange de Reims. Souriante et déterminée. France résolue parce qu’enracinée dans ce fonds qui est “ ce qui manque le moins “ : sa terre, sa culture, son histoire, sa langue.

    Pour être fidèle à ce fonds, elle est prête à risquer l’insoumission. » (Gérard Laguérie.)

    Notre combat est celui du long terme : ce n’est qu’à cette condition qu’on ne lâchera rien. Il doit être politique. Sans nier sa dimension spirituelle fondamentale, l’attaque ayant été portée sur le terrain de la politique, la réponse doit être politique. «Quand le pouvoir s’attaque à la Vie, la Vie elle-même devient une résistance » disait Michel Foucault

    Dépassons les clivages obsolètes de la droite et de la gauche puisque la droite n’est que situationnelle par sa position sur l’échiquier politique. Le véritable clivage, qui fera à terme éclater tous les partis républicains est celui de la dignité de l’homme et de sa place dans la Création. L’heure est donc venue d’une recomposition des forces vives et de leur fraternisation, de l’inévitable fraternisation ! Mais ne sous-estimons pas l’adversaire qui dispose de tous les leviers et utilise la ruse et le mensonge.

    Nous devons éviter le piège dialectique de la division et retrouver l’unité non sous une tutelle hégémonique mais dans l’humilité d’une œuvre commune

    Nous vous engageons et nous engageons tous les Français désireux d’entamer le redressement de la France à se poser sereinement la question.

    C’est notre vocation d’interroger nos institutions; toutes nos actions sont ordonnées à une fin qui est la reconquête du Bien commun et cette fin passe par la question du pouvoir et des institutions. Notre stratégie doit se fonder sur une fraternisation bienveillante avec les autres mouvements royalistes et/ou dissidents et rechercher le consensus social aujourd’hui rompu. Car c’est sur ce socle que se construira la France de demain.

    Engageons-nous sur une action politique qui passe par un mot d’ordre commun sachant que ce Bien commun nécessite la mise en place d’un pouvoir arbitral, indépendant de la pression partisane, capable d’agir à long terme ; un pouvoir qui puisse arbitrer les conflits entre communautés, mettre en perspectives leurs aspirations avec le bien de la cité et veiller aux enjeux anthropologiques. Prendre conscience de la nécessité de cette liberté qui surgit sous nos yeux, l’ordonner vers le Bien commun c’est rendre à la politique toute sa grandeur !

    Sandrine Pico-Deprez, délégué général de l’Alliance royale

  • Bonsoir,
    Oui, aujourd'hui, c'est la Saint-Louis, un des patrons bien-aimés des Français.
    Regardons sa vie, son combat et inspirons-nous de son action politique pour construire l'avenir de notre pays: LA FRANCE.
    Nous chrétiens, nous avons un devoir de nous engager en politique pour combattre l'iniquité et le mensonge.
    C'est pourquoi, je vous invite à vous porter candidats aux prochaines élections municipales pour terrasser l'hydre qui empoisonne notre liberté de conscience religieuse et veut nous faire taire, pour que le vice soit mis au rang de la vertu. Alors nous disons: NON, on ne passe pas!
    Sachons prendre nos responsabilités. Nous avons un Chef: Notre Seigneur JESUS-CHRIST, alors le temps est venu d'emboiter Ses pas pour entrer dans le combat. Il ne fait aucun doute que nous aurons la victoire, à condition que notre unité soit sans faille derrière Son chef. A Lui soit l'Honneur, la Puissance et la Gloire!
    Alléluia! Il est Vivant!
    Maranatha!
    Merci!
    JFL

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