Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Chez Taubira : comme chez Dati

Lu dans Le Monde :

"Un certain désarroi traverse la Place Vendôme : la conseillère des politiques pénales, puis le directeur et le chef de cabinet de la ministre de la justice, Christiane Taubira, sont partis ; le conseiller diplomatique, la directrice des services judiciaires, le directeur des affaires civiles et du Sceau ainsi que son adjointe s'apprêtent à le faire. Le malheureux directeur adjoint de cabinet tient le ministère à bout de bras et attend la relève en comptant les heures. Simple conjonction, se rassure la ministre, encore auréolée de son beau débat à l'Assemblée sur le 'mariage pour tous'. Mais le malaise est plus profond et, si chacun respecte infiniment Christiane Taubira, force est de constater qu'il est difficile de travailler avec elle et que le bilan du ministère, après dix mois de labeur, est particulièrement maigre."

Il s’était passé exactement la même chose quand Rachida Dati était ministre de la Justice. Mais Taubira est en retard, à moins que Dati ne fût nettement plus insupportable : c’était 14 personnes de son cabinet qui étaient parties (en un peu plus d’un an, il est vrai)…

Commentaires

  • Madame Taubira sera maintenue à son poste et mettra en place toutes ces nouvelles lois visant à un basculement de civilisation où plutôt du passage de la civilisation catholique,la seule d'ailleurs,aux mots d'ordre du NOM dont le gouvernement français actuel est l'agent d'exécution.

Les commentaires sont fermés.