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Un exemple (britannique) de la dictature homosexualiste qui vient

Un aumônier bénévole de la police écossaise a été renvoyé, parce que sur son blog personnel il a exprimé son hostilité au projet de loi de mariage des paires. Ce qui n’est pas conforme « aux politiques de diversité et d'égalité de la force de police ». Alors que la loi n’est même pas encore définitivement votée et n’est donc pas en vigueur…

A lire sur le blog de Jeanne Smits.

Commentaires

  • Le châtiment de Dieu est en marche contre tous les pays qui permettent dans leurs institutions l'homosexualité.
    Regardons par exemple l'Espagne avec cinq millions de chômeurs et la sécession prochaine de la Catalogne.
    Et cela intervient quelques années après la promotion publique de ce péché qui crie vers le ciel.

  • que dit la loi française sur des sanctions envers des choses qu'on dirait sur un blog PERSONNEL ?

  • J'ai dit son blog "personnel" pour préciser que ce n'est pas un blog dépendant d'un site de la police. Mais tout blog est par définition public.

    Quand on est employé d'une entreprise, on ne peut pas publiquement prendre des positions contraires aux "valeurs" de l'entreprise sans risquer d'être sanctionné. C'est encore plus vrai pour une entreprise d'Etat: on ne peut pas prendre position publiquement contre les "valeurs" de l'Etat. Si l'Etat affirme qu'il existe un mariage entre deux personnes de même sexe, puisqu'il l'a institué, et que c'est très bien, et que dire le contraire c'est de l'homophobie, eh bien le blogueur qui nie le mariage homosexuel et dit que c'est mal est sanctionné pour homophobie (et en outre condamné en justice, au nom de la loi sur la liberté de la presse...)...

  • C'est donc une obligation de réserve applicable à tous les fonctionnaires ? Voire à des entreprises quelconques ?

    Mais ceci, combiné avec une notion des sites et forums comme espace public, condamne un quart des Français à la fermer sur les sujets importants où ils n'approuvent pas !!

    Potentiellement, un ingénieur d'Aventis, un employé municipal, un instituteur rétif au "gender", un entraîneur sportif, bref tout salarié ou toute personne sous contrat, peut être professionnellement sanctionné à ce motif ?

    Y a-t-il eu des cas de jurisprudence en France ? Seulement contre des gens en vue, ou envers des employés de bas niveau ?

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