L’UOIF, qui avait boycotté les élections du Conseil français du culte musulman en 2011, « annonce son retour dans les instances du CFCM sur la base de nouveaux statuts, d’une nouvelle démarche et d’un nouvel esprit ».
On ne sait pas si ça a un rapport avec la rencontre, dont personne n’a parlé (en dehors de l’observatoire de l’islamisation), le 3 janvier dernier, entre le cheikh Ahmed Jaballah, président de l’UOIF, et le président égyptien Mohammed Morsi.