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Les saints anges gardiens

Custodes hominum psallimus angelos,
Naturæ fragili quos Pater addidit
Cælestis comites, insidiantibus
Ne succumberet hostibus.

Nam quod corruerit proditor angelus,
Concessis merito pulsus honoribus,
Ardens invidia pellere nititur
Quos cælo Deus advocat.

Huc custos igitur pervigil advola,
Avertens patria de tibi credita
Tam morbos animi, quam requiescere
Quidquid non sinit incolas.

Sanctæ sit Triadi laus pia jugiter,
Cujus perpetuo numine machina
Triplex hæc regitur, cujus in omnia
Regnat gloria sæcula. Amen.

Nous célébrons les Anges qui gardent les humains. Le Père céleste les a donnés pour compagnons à notre faible nature, de crainte qu'elle ne succombât dans les embûches ennemies.

Car, depuis que l'ange mauvais fut justement précipité de ses honneurs, l’envie le ronge et il s'efforce de perdre ceux que le Seigneur appelle aux cieux.

Vous donc volez vers nous, gardien qui jamais ne dormez; écartez de la terre à vous confiée les maladies de l'âme et toute menace pour la paix de ses habitants.

Soit toujours louange et amour à la Trinité sainte, dont la puissance éternelle gouverne ce triple monde des cieux, de la terre et de l'abîme, dont la gloire domine les siècles. Amen.

(Hymne des vêpres)

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