Ce sont les évêques qui sont montés au créneau, dénonçant une « monstruosité juridique » : la Cour constitutionnelle colombienne a prononcé une sentence dans laquelle elle déclare que « les liens familiaux s’obtiennent par une variété de situations de fait, dont la libre volonté former une famille, indépendamment du sexe ou de l’orientation sexuelle ». Et elle insiste : « L’hétérosexualité ou la différence de sexe dans le couple, ou l’existence d’un seul sexe, ne constitue pas un aspect définitoire de la famille, et n’est pas non plus une exigence pour sa reconnaissance constitutionnelle ».
Or la Constitution dit que la famille constitue le noyau de la société et que le mariage ne peut être contracté qu’entre un homme et une femme, rappelle la conférence épiscopale, soulignant que le rôle de la Cour constitutionnelle est de protéger la Constitution, et qu’elle n’a pas le pouvoir de changer la loi.
On mesure l’influence du lobby homosexuel aussi dans ce pays…
(Zenit)
Commentaires
D'autant que le nouveau président n'est pas un homme spécialement de la gauche, mais l'on peut supposer que l'argent des "gay lobbies" ne viennent pas que de Colombie...