Nous savons par le pape Damase, qui composa l’épigraphe sépulcrale du saint, que, ayant admis les apostats à la pénitence et à la réconciliation ecclésiastique, les adversaires, c’est-à-dire le parti hérétique, rigide et intransigeant, suscita à Rome un tel tumulte populaire qu’il en résulta un massacre. Le tyran Maxence intervint alors, et, profitant de ces désordres, il condamna Marcel à l’exil ; celui-ci succomba finalement aux épreuves.
Bx cardinal Schuster