Ni le tombeau ni la mort n'ont eu pouvoir sur la Mère de Dieu, infatigable à la supplication, inébranlable espoir dans ses intercessions. Puisqu'elle est la Mère de Dieu, Il l'a transférée à la vie, Celui qui repose dans son sein toujours virginal.
(Kondakion de la fête de la Dormition de la Mère de Dieu, chanté par le P. Maximos Fahmé, à la fin du CD de la Paraclisis.)