Le Grand Orient de France demande une meilleure application des lois sur l'éducation sexuelle et sur l’avortement.
Dans un communiqué, il estime que la loi du 4 juillet 2001, qui rend obligatoire l'information et l'éducation à la sexualité dans les établissements scolaires "n'est pas appliquée" et que, concernant l'IVG, "l'acte lui-même est sous-payé, et les établissements qui le pratiquent sont en diminution constante".
"L'ensemble de ces éléments accentue la souffrance des femmes qui sont confrontées à cette problématique et le GODF ne peut que relever ce manque qui entre dans le cadre des atteintes à la protection sociale et sanitaire de notre pays".