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Brigitte Bardot pointe du doigt la dhimmitude française

(Associated Press) Face à "une généralisation de l'abattage rituel" et "au mutisme des pouvoirs publics" sur le sujet, huit organisations pour la protection de la cause animale sont montées au créneau mercredi, Brigitte Bardot et sa fondation en tête, pour dénoncer "la cruauté de l'abattage sans étourdissement préalable", et "la tromperie" qui peut en résulter envers les consommateurs.

Les huit organisations concernées, dont la Fédération des SPA de France et la Fondation Brigitte Bardot, dénoncent avant tout l'interdiction de leur campagne de publicité commune par l'Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP).

Les deux visuels prévus pour illustrer cette campagne ont été retoqués le 8 novembre dernier par l'ARPP considérant qu'ils étaient de nature à "ridiculiser ou choquer" les adeptes des rites concernés.

"On peut afficher, sur tous les murs de France 'fièrement Halal' mais il nous est interdit d'informer le consommateur sur ce qu'est réellement l'abattage rituel sans subir la censure", a expliqué mercredi Brigitte Bardot à l'Associated Press.

L'ancienne actrice estime par ailleurs que "le gouvernement veille à maintenir le consommateur dans l'ignorance car plus de 60% de la viande issue de ces abattages barbares se retrouve dans l'assiette de ces consommateurs à leur insu".

François Desouche donne cette précision :

Depuis le 12 octobre 2010, le nouveau président de l’ARPP est Dominique Baudis, par ailleurs président de l’Institut du Monde arabe et membre de la délégation pour les relations avec les pays du Machrek (Égypte, Jordanie, Liban et Syrie) et de la délégation à l’Assemblée parlementaire euro-méditerranéenne. Il est l’époux de la journaliste et écrivain franco-algérienne Ysabel Saïah-Baudis.

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