Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Giscard et la peine de mort

Dans un entretien qui sera diffusé mardi soir sur France 2, Valéry Giscard d'Estaing estime toujours avoir eu raison de refuser la grâce présidentielle à Christian Ranucci :

"Il était coupable, il était condamné, il devait être sanctionné,.. Je ne regrette pas ma décision, parce qu'à la lecture des dossiers (...) et des procès qui avaient eu lieu, il était coupable."

Interrogé pour savoir s'il aurait aboli la peine de mort durant un éventuel second mandat, il "pense" qu'il n'aurait pas pris cette décision :

"Pour moi, son sens c'était son effet dissuasif. Et je suis du côté des victimes, pour une raison simple, c'est que les victimes ne parlent pas. Et lorsque les victimes sont des enfants ou des femmes faibles, maltraitées, torturées, je considère que c'est inacceptable et qu'à ce moment-là, la dissuasion doit s'appliquer. Donc je l'aurais probablement maintenue."

La peine de mort justifiée "lorsque les victimes sont des enfants" ? Mais alors, quid quand il s’agit du Président qui a fait exploser le nombre de meurtres d’enfants ?

Commentaires

  • Un vaste esprit, une intelligence remarquable, et au final des
    décisions stupides. C'est encore à l'Académie qu'il fait le moins de mal...

Les commentaires sont fermés.