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Le négationnisme de la CEDH

La Cour européenne des droits de l’homme juge que « la relation qui unit (…) deux personnes de même sexe vivant en concubinage relève de la notion de “vie familiale” protégée par l’article 8. »

C’est une pure et simple négation de la famille.

Commentaires

  • C'est tout le problème de la CEDH dépendant du Conseil de l'Europe.

    Elle est instituée pour défendre les droits de l'homme qui sont une chose excellente, et elle en est une des adversaires implacables.

    Le problème, c'est la formation intellectuelle et morale des juges.

    Ils pensent que c'est le relativisme et le laïcisme qui assurent le respect des droits de l'homme, alors que c'est la raison universelle de l'homme.

    En l'occurrence, vous observerez que la Cour viole en premier le droit à la vérité qui est le droit fondant la Convention, elle viole ensuite plus spécialement le droit naturel au mariage qui implique que le mariage soit protégé (article 12 de la convention), elle viole aussi le droit à la non discrimination, car c'est une discrimination illicite que d'apporter des droits particuliers en raison d'un comportement irrationnel (article 14), elle viole enfin l'article 17 (interdiction de l'abus de droit).

    Nous sommes habitués à voir les juges violer les droits fondamentaux de l'homme, en France (institution judiciaire corrompue), la CEDH était un espoir, hélas ! hélas ! hélas !

    "Or, il Nous en souvient, Nous proclamions ouvertement deux choses: l'une, que ce débordement de maux sur l'univers provenait de ce que la plupart des hommes avaient écarté Jésus-Christ et sa loi très sainte des habitudes de leur vie individuelle aussi bien que de leur vie familiale et de leur vie publique; l'autre, que jamais ne pourrait luire une ferme espérance de paix durable entre les peuples tant que les individus et les nations refuseraient de reconnaître et de proclamer la souveraineté de Notre Sauveur."

    http://www.vatican.va/holy_father/pius_xi/encyclicals/documents/hf_p-xi_enc_11121925_quas-primas_fr.html

    Le problème aujourd'hui, c'est que même un certain clergé a "écarté Jésus-Christ". Et que même le Saint Siège viole les droits des catholiques en interdisant ARBITRAIREMENT le rite de saint Pie V. Car Jésus-Christ lui-même a déclaré que les droits de l'homme sont "la loi et les prophètes". (Mathieu 7,13) C'est pourquoi en violant les droits de l'homme, les derniers papes tentent d'annihiler le règne du Christ et quand c'est le pape qui le fait... contre les peuples et leurs légitimes droits à leur coutumes, contre les catholiques et leur droit humain et naturel à la liberté religieuse...

    Pourtant en matière de DOCTRINE morale et de foi, le Saint Siège n'a pas failli et les promesses de Dieu ne se sont pas démenties.

    En cherchant bien, en scrutant les textes sans perdre espoir, on trouve la solution à l'apparente contradiction et là on est libéré, l'espérance dilate l'âme et l'on voit que les objections au règne du Christ sont balayées : nous avons déjà facilement triomphé, comme les Israélites libérés par David (Samuel 1, 17,51 et 52). Il s'agit ici d'un combat intellectuel dont le combat de David était la figure.

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