Mgr Nourrichard avait fait « injonction » à l’abbé Francis Michel de quitter la paroisse de Thiberville avant le 26 juillet. Hier c’était donc sa « dernière messe », selon la presse locale.
En fait :
(Note adventice : je n’arrive pas à comprendre comment des parents peuvent avoir la muflerie de laisser hurler leur mouflet pendant que le curé parle.)
Commentaires
Ne comprenez pas, les gazouilleurs n'en n'ont cure.
Désolé de partir vers cette question, mais depuis quand n'avez vous pas eu des enfants en bas âge dans les pattes à la messe? Évidemment, il serait de bon ton que tous puissent prier et que les enfants soient éduqués à la messe de la bonne manière, c'est-à-dire de sorte qu'ils n'associent pas l'église avec la sévérité ou bien "le lieux ou l'on s'emmerde", cependant, c'est faire oeuvre de charité de garder le fiel qu'on a envers les parents pour soit, c'est peut-être même un chemin de sanctification - et ce n'est certainement pas l'insulte portée à personne en fait qui résoudra cette insolvable question.
Je vous sait suffisamment intelligent pour ne pas voir quoi que ce soit envers vous de négatif dans mon propos, juste une sorte d'expression du mécontentement que votre réaction induit - mécontentement d'ailleurs en contraction avec les invitations de la fin de la vidéo.
Pour "soi" et non pour "soit". Ici il s'agit du pronom et non du verbe "être".
Ah oui ?! Ou on relève tout (et pourquoi - seul Yves Daoudal peut corriger - si ce n'est pour humilier ?), en courant le risque de ne pas être exhaustif ("n'en n'ont cure", "le lieux ou", "Je vous sait", "en contraction avec") ou on se tait. Comme on dit : "Le mauvais lecteur n'aura rien vu, le Bon Lecteur aura rectifié de lui-même.".
Budelberger, bien à l'abri derrière votre masque, vous êtes le plus fort.
Mais je me tais si je veux et je n'ai pas d'ordre à recevoir de "budelberger". Et je relèverai les erreurs, bien pardonnables, quand je sentirai que cela est instructif et en définitive, quand il me plaira.
Je ne suis pas comme "Budelberger" (pseudonyme), infaillible.
Allez "Budelbeger" levez le maque, on a le droit de savoir qui vous êtes puisque vous êtes infaillible, donc invulnérable comme l'homme invisible.
Les enfants font partie de la paroisse, et il n'est pas toujours possible d'éviter un cri...
Par ailleurs, il m'arrive d'enregistrer des homélies, et les cris que l'on entend presque pas sur place (l'oreille humaine est assez sélective et fait le tri), sont totalement retranscrits sur la bande enregistrée.
Il me semble que M.Daoudal, comme moi, est père de famille nombreuse, donc je pense qu'il sait de quoi il parle; et je suis pleinement d'accord avec lui sur les hurlements de moufflets !
Ceci dit, un accident est bien sûr toujours possible :))
Les enfants, oui, bien sûr, c'est dérangeant. Mais préféreriez-vous les voir muets dans une chaise roulante ?
Un jour l'abbé Cutajar m'a dit cela et depuis j'aime bien ces petits dérangeants.
Les petits ? Mais c'est la vie !
Ma fille, morte depuis, a assisté à un salut du saint Sacrement alors qu'elle était bébé et le prêtre nous a dit qu'il avait exposé le saint Sacrement parce qu'elle était présente dans son couffin, car il faut un certain nombre (je crois sept) d'adorateurs pour l'adoration du saint Sacrement dans l'ostensoir.
Patience, patience pour les parents (pour les mamans surtout !!).
Gudule a raison, les enfants font partie de la paroisse.
Je ne pensais pas susciter de commentaires avec ma "note adventice".
Je persiste et signe. C'est la moindre des politesses, envers les autres, et surtout envers le prêtre, de faire en sorte que son bébé ne crie pas, surtout pendant le sermon.
Etre parent implique des responsabilités, pas toujours agréables. Par exemple celle de sortir avec le bébé qui ne s'arrête pas de crier. Là où je vais à la messe, TOUS les parents le font.
Et je pensais à cette réflexion d'un prêtre sur le Forum catholique:
"On voit qu'il ne vous est jamais arrivé, et que vous savez que cela ne vous arrivera jamais, de prêcher alors que des mouflets hurlent."
http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=559183
Merci D. Merlin pour votre précision, j'ai souvent eu du mal à régler ce problème dans ma petite tête.
Persistez et signez si bon vous semble, je doute que les parents n'aient pas conscience de la gêne produite par leurs gazouilleurs, et c'est donc avec d'autant plus de charité que vous saurez souffrir en silence ce qui ressemble pour vous à un traumatisme.
C'est un fait, un bambin brailleur, c'est un bambin gêneur. Qui ne le sait pas? Alors puisqu'il semblerait que vous soyez père de famille, comme je vais le devenir, donnez moi donc la recette, j'en suis impatient!
ps: là ou vous allez à la messe, beaucoup de parents doivent rater la messe.
Mon ordinateur est incapable de lire DailyMotion, je n'ai pas vu la vidéo, mais je me doute du contenu ; le babil de bébés est amusant, agréable, les cris, non ; moi, ce qui m'exaspère au plus haut point, c'est cette mode venue d'Espagne (inspirée probablement des talk-shows télévisés), qui consiste à applaudir lors d'une messe de funérailles ; tout dernièrement, Bernard Giraudeau ; le pire : Jean-Paul II, où même un vieux cardinal jouait le chef d'orchestre ; je n'étais pas le seul exaspéré ; les Polonais, rassemblés en toute gravité à Cracovie, appréciaient très peu le comportement des Italiens.
Mais les gens se croient donc chez Drucker, où tout et son contraire s'applaudit ?
Je n'ai pas de recettes, mais seulement je me souviens de ce prêtre pied-noir qui m'avait calmé en me faisant observer que les enfants turbulents, c'est mieux que les enfants qui ne dérangent personne (ne pas prendre au pied de la lettre bien sûr).
Donc, la recette, c'est aimer les enfants, même si en raison du péché originel, il nous "insupportent" et que nous ne les supportons pas. Dieu a tout enfermé sous le péché pour faire miséricorde à tous.
Je suis un ancien père de famille privé de mes droits/devoirs par les infâmes juges français et les intégristes-lefebvristes. Mes enfants ne sont plus des enfants depuis longtemps maintenant.
Bref, patience, patience, patience, l'amour, l'amour, l'amour, en particulier des faibles donc des tous petits.
[cela étant dit, je comprends monsieur Daoudal, sans l'approuver absolument.]