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Villepin crée son parti

Dominique de Villepin a lancé sont mouvement « République solidaire », dont il « prend la présidence » (sic).

Pour ceux que ça intéresse, il y a une grande dépêche de l’AFP.

Commentaires

  • Marie-Anne Montchamp porte-parole : ça va être d'un harmonieux ! Sinon, il y a le fou Bagag, caniche de Galouzeau. (Vérifier sur les documents photographiques : il a le même regard pour son maître que la Dati avait pour son Sarkozy.)

  • « République solidaire », dont il « prend la présidence » (sic) : le bellâtre au teint olivâtre a une telle phobie des élections - comme Delors, il ne supporte que les nominations, désignations - qu'il ne s'y risque même pas pour son machin à lui tout seul. Qu'il se prépare pour ses futurs à peine 4% (le score régulier des autres vedettes des sondages, Veil, Barre, Balladur, Chevènement, Yade...)

  • je viens de créer le parti du camenbert.

  • Barre avait fait 16% en 1988, et Balladur près de 19 % en 1995. (C'était aux élections présidentielles, et au premier tour). Donc largement plus que 4 %. J'ajoute que les 7% de Chevèvement ont certainement contribué à la diminution du score de Jospin, et à son échec dès le premier tour, en 2002.

    En fait, c'est un règlement de compte interne à l'UMP, avec un Villepin qui rêve de nuire à Sarkozy. Ces 5 ou 6 %, voire un peu plus, au premier tour, seront pris à NS, et peuvent l'empêcher d'accéder au second tour, au cas où le candidat du front national obtiendrait un très bon score, tout comme le candidat de gauche, ce qui est un scénario plausible. En somme, un nouveau 2002, mais avec éjection du candidat de "droite" dès le premier tour.

    Tant mieux, même si je suis quand même écoeuré par la bassesse de cet homme, qui fait passer sa rancoeur personnelle devant ses convictions, si tant est qu'il en ait jamais eu.

    C'est du reste pareil à gauche, et je le redis : Tant mieux. Que ces fils et filles à papa, ces énarques de l'UMPS, qui ne sont qu'une bande de mollusques s'étrillent entre eux, et débarassent le terrain une fois pour toute, et cède la place à de nouveaux venus plus dynamiques. Le front national au deuxième tour en 2012, et, si possible, son candidat élu !

  • Barre, Balladur, Hillary Clinton, Giuliani, Clegg, Komorowski (et toutes les élections européennes de cette année ; Strauss-Kahn) : il n'était même pas besoin de tenir des élections, tous ces candidats étant assurés (le Système l'affirmait) de gagner haut la main ; inutile de s'encombrer d'électeurs.

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