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Barroso ne veut pas d'un "gouvernement" de la zone euro

Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso veut une meilleure « gouvernance » économique de la zone euro, mais pas un « gouvernement »... qui ferait concurrence à la Commission :

« On ne renforcera pas le Pacte de stabilité et de croissance en diminuant la crédibilité des institutions communautaires et la méthode communautaire », incarnée par l'exécutif européen, a-t-il déclaré hier lors d'une conférence de presse à Bruxelles. De nouvelles institutions « ne feraient qu'instaurer une nouvelle confusion ».

Le même jour, Christine Lagarde insistait de nouveau sur la marotte de Sarkozy :

« Il faut mettre en place un mécanisme de gouvernement économique qui nous permette d'être une véritable zone économique et monétaire. Pour qu'une zone monétaire soit efficace il faut qu'elle soit dotée d'une politique économique coordonnée, il faut qu'elle soit dotée des instances qui permettent la mise en œuvre et le respect de ces politiques et par conséquent il faut un niveau décisionnel approprié. »

On se souvient que le 7 mai dernier, après la décision sur le fonds de soutien européen, Sarkozy avait claironné : « Nous avons décidé de doter la zone euro d'un véritable gouvernement économique »...

Commentaires

  • Ecoutez la chanson légère

    Ah ! croyez la douleur bien sage
    Qui prédit la mort éternelle
    A la Haine sem-pi-ter-nelle...
    Là ! chantez la chanson bien sage !

    La voix vous fut connue et chère !
    Mais à présent elle est voilée
    Comme une veuve désolée,
    Pourtant comme elle est encore fière.

    Et dans les longs plis de son voile
    Qui palpite aux brises d'automne.
    Cache et montre au coeur qui s'étonne
    La vérité comme une toile.

    Elle dit , la voix reconnue,
    Que la bonté c'est notre vie.
    Que la haine et de l'envie
    Rien ne reste, la mort venue.

    Elle parle aussi de la gloire
    D'être simple sans plus attendre.
    Et de noces d'or et du tendre
    Bonheur d'une paix sans victoire.

    Acceuillez la voix qui persiste
    Dans son naïf épithalame.
    Allez, rien n'est meilleur à l'âme
    Que de faire ue âme moins triste !

    Elle est en peine et de passage.
    L'âme qui souffre sans colère,
    Et comme se morale est claire !
    Ecoutez la chanson bien sage.



    Marie-Lise EHRET
    Psychanalyste



    Dame crabe

    Sur le sable fin d’une plage
    Dame crabe et ses crabillons
    Crabillonnaient de long en large
    Crabillonnaient de large en long
    Quand la poucette du bataillon
    Se mit à marcher droit contre tous les usages
    Dieu Jésus, cria la mère épouvantée, que vois-je ?
    Cette petite malheureuse a des instincts pervers !
    Viens par ici mon enfant, allons marche de travers !




    Merci Sami !


    * en poésie , tout s'exprime en peinture aussi

    la joie, la fraicheur , la candeur, la tristesse et tant d'autres choses !



    http://www.choisir-son-psy.com/fiche.php?id=51351#fiche

  • à Marie-Lise EHRET

    Quels magnifiques poèmes! Je vous félicite bien fort!
    Voilà de beaux textes à lire, qui sont en effet un véritable rafraichissement entre les réalités plutôt impitoyables de ce monde dans lequel nous vivons.

    Et à propos de l’article de Monsieur Daoudal, qui une fois de plus attire notre attention sur ce qui nous concerne et maintenant ne passe heureusement plus inaperçu :
    Il me semble que ces eurocrates ont une forte tendance à vouloir s’emparer de plus en plus de pouvoir au dépens des gens et citoyens qu’ils représentent (ou devraient représenter).

    On évolue ici dans l’Union européenne donc vers un système de plus en plus communiste. Le ‘politburo’ à la Barroso et tutti quanti de la Commission, qui derrière les coulisses décide et s’enrichit de plus en plus mais qui réserve à la ‘populace’ (pour eux) de plus en plus le contraire.

    Si je pouvais choisir, je sortirais de l’Union européenne. Je dirais joyeusement adieu à cet euro qui a surtout rendu tout plus cher dans tout les pays concernés et nous oblige maintenant encore à payer pour ceux qui ont dépensé à tort et à travers et ne veulent même pas changer leur mode de vie, comme en Grèce et tantôt dans le pays de Barosso et leur voisin. Sans parler encore de l'immigration envahissante et disproportionnée, de la dhimmitude imposée et leur influences néfastes et déstabilisantes sur l’économie.

    Que ces eurocrates m’expliquent une fois pourquoi le seul pays au centre de l’Europe qui ne fait pas partie de l’Union Européenne, qui n’emploie pas l’euro mais sa propre monnaie, qui contrôle sévèrement l’immigration et autorise jusqu’au plus bas niveau de la population, une grande participation au pouvoir, est le plus prospère et le plus riche pays de toute l’Europe. Je parle, pour être claire, de la Suisse.

  • l'Europe

    Ne sera jamais l'Amérique

    et je dois avouer que je ne vois pas la tournure

    ou le tore comme vous voulez

    De cette Europe de bonne aloi


    Quand nos dirigeants voient trop grand
    Le château de cartes un coup de vent
    Et vlan !

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