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A la tête de l’UE…

On glose sur la nomination de Herman Van Rompuy au poste de président du Conseil européen et de Catherine Ashton au poste de haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité. Le premier est à peine connu en Belgique, où il est Premier ministre, la seconde est inconnue partout, même au Royaume-Uni.

Mais l'objectif était qu'il y ait un « président de l'Europe » et un « ministre des Affaires étrangères de l'Europe », pour installer l'idée d'un super-Etat européen. La personnalité des titulaires n'a aucune importance. Dans les pays communistes, ce n'est pas le président qui décide des orientations, c'est le secrétariat du comité central. Ce que l'on appelle dans l'UE la Commission européenne.

(Les nominations devaient être « équilibrées » selon les normes politiciennes et politiquement correctes : on a donc choisi un homme de droite d'un petit pays et une femme de gauche d'un grand pays...)

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