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23e dimanche après la Pentecôte

Par rapport à saint Marc et à saint Luc, Saint Matthieu résume l'épisode de la guérison de l'hémorroïsse et de la résurrection de la fille du "chef".

De ce fait, il souligne le parallélisme entre les deux miracles, qui ont un même point central : le toucher. La femme malade sera guérie si elle touche le vêtement de Jésus. La jeune fille ressuscite quand Jésus lui prend la main. Le chef lui avait demandé de venir lui « imposer la main ». Un geste qui deviendra essentiel dans plusieurs sacrements. Le Verbe incarné agit par le contact de son corps. Ce contact, par les sacrements, donne la vie. Car le sang, c'est la vie : l'hémorroïsse perdait peu à peu sa vie. Et la résurrection de la jeune fille montre que le contact avec le Christ peut nous rendre la vraie vie à tout moment : « Lève-toi, toi qui dors, relève-toi d'entre les morts, et le Christ t'illuminera » (Ephésiens, 5, 14).

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