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Le clergé qui suicide la nation

A la cathédrale de Saint-Denis, commémoration quasiment liturgique du 7e anniversaire de l'occupation de la nécropole des rois de France par des milliers de clandestins.

Extraits de l'article L'Humanité du 17 août cité par Le Salon Beige :

« Je suis très heureux de vous accueillir dans notre cathédrale, annonce le vicaire général Daniel Pizivin, vous qu'on appelle sans-papiers au risque d'oublier que vous êtes des hommes et des femmes dans toute votre dignité. » Et de lire un message adressé par l'évêque, Mgr Pascal Delannoy : « Depuis août 2002, la cathédrale de Saint-Denis est devenue le symbole de la fraternité et de l'espérance, mais aussi des combats à mener jour après jour. (...) Je suis en communion de pensée et de prière avec chacun d'entre vous et tout particulièrement avec ceux qui vivent dans l'incertitude du lendemain » (...)

Le père Bernard Berger, à l'époque curé de la basilique, évoque lui aussi une « mise en orbite du mouvement ». « L'homme est universel, accueillir l'autre est indispensable, ajoute le prêtre aujourd'hui à la retraite. J'ai un rêve : arriver à ce qu'on ne parle plus de nation, mais d'universalité. »

Commentaires

  • Très curieux pour un homme qui prétend avoir reçu mission d'enseigner toutes les "nations" (Math 28, 19), n'y croirait-il plus ? ou alors enseigne-t-il un autre évangile ? Et de quel droit enseigne-t-il la destruction des nations ?

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