La conférence des présidents de l'Assemblée nationale a décidé la création d'une « mission d'information parlementaire » sur la burqa.
C'est ce que Bernard Accoyer avait proposé dimanche.
La mission parlementaire se limite à un simple rôle d'information, mais elle peut déboucher sur une proposition de loi.
La commission d'enquête est une procédure plus lourde. Toute personne dont une commission d'enquête a jugé l'audition utile est tenue de déférer à la convocation qui lui est délivrée, si besoin est, par un huissier ou un agent de la force publique, indique le site de l'Assemblée. Ce serait sans doute « stigmatisant » pour les islamistes...
Commentaires
Diantre, rien de plus normal, dans la république islamiste qu'est la France de par la volonté de Sarkozy, il faut traiter avec respect nos maîtres spirituels et avec mépris l'Eglise catholique (en vertu de la laïcité, toute la télévision et la radio d'Etat s'attèlent à cette tâche exaltante de Nagui à Gerra en passant par Val, j'en oublie, ils sont imités par Borotra, Juppé et tutti quanti dans le domaine politique).
La discrimination religieuse est en marche sous la houlette de la HALDE.
On touche ici du doigt que nos amis "traditionalistes" et "lefebvristes" sont les meilleurs auxiliaires inconscients et involontaires, dans nos milieux de l'islamisme et du laïcisme par leur lutte contre les droits de l'homme.
Cela ne débouchera que sur rien. Rien de rien, comme d'habitude, si ce n'est encore de l'argent mis en l'air pour une mission...
Une bonne connaissance de l'histoire de France, et du monde, suffisent pour désigner les actions à entreprendre.
Mais rien ne sera entrepris, et ne croyons pas que c'est par paresse, ou faute de moyens que rien ne sera fait : C'est une volonté politique que d'islamiser la France. L'Etat sait très bien agir lorsqu'il estime devoir le faire : comme par exemple
la répression routière, comme la lutte contre le tabac, et j'en passe.
Encore une fois, après la loi sur le voile, victoire éclatante des musulmans mettant en demeure spéhi de légifiérer à leur intention, la France n'a pas à définir sa politique intérieure en fonction d'une population allogène non destinée à demeurer « en elle » ; toute action présentée « contre… » est en fait une capitulation.