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Paradoxe tchèque

L’européiste Jiri Paroubek, chef de l’opposition sociale-démocrate en République tchèque, n’exclut pas de demander l’organisation d’un référendum sur le traité de Lisbonne si le Parlement continue de traîner : « S’il n’y a pas d’autre moyen d’approuver et ratifier le traité, alors nous nous lancerons dans un référendum ». Un député dissident de l’ODS, Juraj Raninec, a déclaré que ce serait « une bonne carte » à jouer.

Réponse du bureau de presse de Vaclav Klaus : « Le vote a lieu au Parlement. De telles spéculations sont inutiles. »

(En fait il s’agit de politique politicienne intérieure. Paroubek pense pouvoir par ce biais renverser le gouvernement – qui refusera le référendum - à la faveur d’une motion de censure qui serait votée par les dissidents de l’ODS.)

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