Silvio Berlusconi a annoncé au sommet européen de Bruxelles son intention de mettre son veto au plan d'action européen, le “PEC”, pour « lutter contre le réchauffement climatique » :
« J'ai annoncé mon intention de mettre mon veto. La Pologne s'est mise avec nous. [Euh… c’est le contraire, mais peu importe]. Nos entreprises ne sont absolument pas en mesure aujourd'hui de supporter les coûts de la réglementation proposée. Les engagements pris sont confrontés à la crise. Nous ne croyons pas que le moment soit venu de faire les Don Quichotte, d'aller seuls alors que les pays gros producteurs de CO2 comme les Etats-Unis ou la Chine sont absolument contre une adhésion à notre projet. »
Nicolas Sarkozy s’est dit quant à lui « optimiste » sur la réalisation d’un « consensus »…