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C’est pour les enfants…

La « Marche des fiertés » homosexuelles, à Paris, c’est demain. Cette année, le slogan, c’est «Pour une école sans aucune discrimination». Autrement dit, pour une propagande homosexuelle obligatoire à l’école, au nom de la « lutte contre les discriminations ». La FSU, premier syndicat d’enseignants (sic), sera partie prenante de l’immonde défilé.

Le ministre de l’Education (sic) Xavier Darcos est exactement sur la même longueur d’ondes. Il a annoncé à Libération :

« Pour la première fois, la lutte contre l'homophobie sera explicitement mentionnée dans la circulaire de rentrée 2008 afin que tous les personnels se sentent concernés. De plus, le numéro de la ligne Azur, qui vient en aide aux jeunes homosexuels, sera systématiquement affiché dans tous les lycées et la brochure Homophobie savoir et réagir sera également mise à la disposition des élèves. »

Libération précise que la ligne Azur est destinée à « ceux qui se posent des questions sur leur identité sexuelle » : du racolage d’adolescents mal dans leur peau. N’y aura-t-il pas un psychologue pour pousser un cri d’horreur ?

Commentaires

  • Sans oublier la "Fierté française" qui aura lieu demain aussi, et à Paris, aussi : et elle sera célèbre...

    La première "Fierté française", ou "French Pride" pour les cousins, organisée par l'homme Desouche, enfin, depuis le temps que son site web attroupe.
    Pour tous renseignements, toutes les personnes de bonnes volontés étant conviées à cette soirée, au 'Local' qui a déjà servi... : http://www.fdesouche.com/?p=3606

    (je n'y serai point, hélas, mais d'autres fois sûrement!)

  • Cette ignoble exhibition est contraire aux bonnes mœurs et devrait être condamnée. Surtout ce racolage d’enfants : on sait que ces gens aiment la chair fraîche. Mais le gouvernement est complice de cette infamie.

  • Ce sont des obsédés sexuels, de misérables désespérés.

  • "Surtout ce racolage d’enfants : on sait que ces gens aiment la chair fraîche."

    "ces gens"....

    Je sens déjà les critiques fuser (vous allez m'accuser d'angélisme hypocrite, de langue de bois...).


    Connaissez-vous beaucoup d'homosexuels, Messieurs? En fréquentez-vous au quotidien? Connaissez-vous leurs rêves, leurs désirs, leurs passions?

    Savez-vous que beaucoup d'entre eux ne vont pas à la gay pride, n'appartiennent pas à des associations, ne se sentent pas appartenir à un quelconque lobby? Savez-vous qu'ils ont les mêmes rêves que tant d'entre nous: vivre heureux et en paix?


    Vous ne savez manifestement rien de "ces gens".

    L'infamie, je la trouve dans vos mots.... Allez, en attendant de me faire attaquer pour ces paroles dans les heures qui suivent, je vais voir ailleurs. C'est la dernière fois que j'interviens sur ce blog, votre haine est insurmontable...


    Il est sûr que précher votre parole dans les écoles serait tellement plus profitable: je vois déjà l'effet, internement psychiatrique des "désaxés"? Des enfants persuadés que les homos sont forcément obsédés et pédophiles (d'où ratonnades en règle, comme cela arrive encore, si, si, et cette peur, cette peur de l'autre nourrie par l'ignorance que je perçois dans vos propos)?


    Belle charité chrétienne, Messieurs.

  • A P. : De qui parlez-vous ? Des homosexuels en général, sans doute ? Pour ma part je ne parle pas d’eux mais des organisateurs de cette ‘parade’ ! Ce ne sont pas tout à fait les mêmes et vous feriez mieux de lire ce qu’on écrit au lieu au lieu de lire ce que vous pensez !

  • Je vois votre point.

    Donc seuls les organisateurs de la gay pride seraient des amateurs de "chair fraîche"? Il y a aurait de bons homo (discrets, peut-être dans votre logique...repentants) et d'autres que vous critiquez (ressort typique de toute discrimination)?

    Si, si,j'ai bien lu ce que vous avez écrit, mais comme la dernière fois, ma critique se tient dans la mesure où je visais ce qui fonde votre propos. Je serai donc plus précise. Mon point est de dire que la gay pride, ainsi que bon nombre d'organisations et d'interventions (telle la sensibilisation au collège et au lycée au sujet des discriminations envers les homosexuels) sont justifiées si on considère que tant de personnes (telles que vous) s'évertuent à faire très vite de l'homosexualité une perversité (voyez les propos de Denis Merlin)Mon intervention consistait juste à souligner que l'existence d'une communauté gay trouve principalement sa source dans la défense d'un droit que vous semblez leur nier. Celui d'être considéré avant tout comme une personne dont les préférences sexuelles ne sont ni un danger ni une menace.

    Je crois finalement qu'il m'est toujours aussi difficile de lire les articles concernant ce sujet sous la rubrique "Culture de mort".

    Mais vous ne répondez pas à ma question. Connaissez-vous beaucoup d'homosexuels ("assumés", bien sûr) pour parler si rapidement du caractère de ceux qui les défendent?

  • P.,la philo-agrégative révèle sa vraie nature de grande inquisitrice et se lâche.
    «ma critique se tient dans la mesure où je visais ce qui fonde votre propos» : n’ayant cure de ce qu’on écrit, elle lit dans les pensées et montre d’un doigt vengeur ceux qui ne pensent pas comme elle.
    «Connaissez-vous beaucoup d'homosexuels ?» : il faut avoir des arrières pensées inavouables pour interroger ses amis sur leurs comportements sexuels ; on ne pénètre pas dans la sphère de la vie privée la plus intime de chaque personne. C’est une marque de respect des plus élémentaires.
    «ressort typique de toute discrimination» : voilà le mot est lâché , il ne reste plus qu’à sortir la guillotine pour punir comme il convient les discriminateurs.

  • Cher abad, vous avez parfaitement raison.

    Je crois cependant qu'il est inutile de se fatiguer à répondre à des gens qui n'ont qu'un souci : faire peur pour nous faire taire, ce sont des auxiliaires de la police de la pensée.

    Quant à l'Inquisition elle était une sainte institution formée par des juges excellents (lire le Manuel de l'inquisiteur de Guy, édtions les Belles Lettres traduction Mollat 2006) ; alors, comparer cette sainte institution à P., c'est insulter l'inquisition et faire trop d'honneur à ce provocateur.

  • Oui, cher Merlin, j’approuve entièrement votre commentaire et ce que vous rappelez de l’Inquisition. C’est à dessein que j’ai utilisé ce mot, car cette provocatrice ne peut le prendre que dans le sens qu’elle lui attribue et non dans son sens réel. L’Inquisition est au dessus de cela.

  • Ajoutons, à propos de cette marche, le mensonge grossier auquel se livrent tous les média. Selon le site e-deo, dont un représentant était sur les lieux, et qui a rapporté son témoignage, il y avait entre 30 et 40.000 personnes à cette marche, alors que tous les média nous ont asséné le chiffre de 700.000 participants !!!

    De plus, et toujours selon ce témoignage, la religion chrétienne a été brocardée : manifestants déguisés en bonne soeurs, ou singeant le Christ en portant une croix.

    C'est une marche à l'image de notre société : obscénité et mensonge, le tout puissamment et complaisamment relayé par des média décérébrés.

  • La fable homo “l’indifférenciation sexuelle”
    imposée aux enfants !

    Xavier Darcos, ministre de l’Education Nationale, vient d’entrer en guerre contre ce qu’il considère comme une abomination pure et simple, indigne de la France des “droits-de-l’homme” au XXIe siècle, mais sournoisement imposée par les tendances hétérosexuelles de la majorité des humains: les ravages de “l’homophobie” à l’école!

    “L’omerta est toujours présente. Des chiffres alarmants montrent que nos jeunes homosexuels ne vont pas bien et qu’ils sont victimes de leur orientation sexuelle… On sait que les jeunes se moquent ou insultent, facilement. Tout ceci crée des tensions et beaucoup de souffrance chez les jeunes homosexuels. Concrètement, j’ai donc décidé de rendre systématique à la rentrée l’affichage de la ligne Azur [Réponses à ceux qui se posent des questions sur leur identité sexuelle] dans les lycées: ceci permettra aux adolescents, victimes de violences homophobes ou soucieux de s’informer, de trouver des interlocuteurs formés. La brochure Homophobie: savoir et réagir (jusqu’ici distribuée dans les rectorats) sera en outre disponible dans tous les établissements, les centres d’information et documentation, les infirmeries, les salles des profs.” (Libération, 28 juin 2008) – Vous avez bien lu: le ministre de l’Education Nationale veut protéger ce qu’on appelait dans un passé récent les “déviances sexuelles” contre les railleries susceptibles de compromettre leur épanouissement. Les jeunes écoliers bêtement tentés par l’autre sexe (ils commencent tous généralement par là, quel que soit leur millieu social et la religion des parents) n’ont qu’à bien se tenir: le conseil de discipline y veillera pour eux. […]

    La Justice au service des propagandes homosexuelles
    Xavier Darcos n’est pas seul dans son combat contre nature pour le droit à la reconnaissance et l’intégration scolaire de l’homosexualité. Il a la gauche intellectuelle, les juristes universitaires et les juges de son côté.
    C’est ainsi que la Cour administrative d’Appel de Nancy a condamné en février le rectorat de Nancy-Metz à 1 500 euros de dommages et intérêts pour avoir refusé à Couleurs gaies, une association soutenue par la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité (Halde), l’autorisation de “réaliser des actions de prévention contre l’homophobie en milieu scolaire”. La Cour lui intimait par ailleurs de reconsidérer sa décision. C’est chose faite aujourd’hui. Dominique Weyant, président de Couleurs gaies, s’en félicite chaudement : “On va lancer dès septembre-octobre une campagne d’information à destination des lycées lorrains pour présenter notre programme.“ […] Pauvres classes de troisième et de seconde ! Espérons qu’elles n’auront pas à subir de travaux pratiques, ni d’épreuves orales en circuit fermé…
    Autre exemple : l'association homosexuelle militante SOS Homophobie a reçu l'agrément de l'Académie de Versailles pour présenter dans les classes de lycée son “module de sensibilisation à l'homosexualité” et sa "révision" des programmes scolaires, accusés de favoriser l'homophobie. […]

    Aligner les manuels scolaires sur “l’évolution des mœurs”
    Mais ce n’est pas tout. Les militants homosexuels ont compris le formidable parti qu’ils pouvaient tirer du Principe Libéral Avancé établi dès 1975 par le Président Giscard, avec le soutien actif de ses adversaires de gauche et de l’intelligentsia : aligner la loi sur les mœurs. Si toutes les idées, toutes les morales, toutes les religions et tous les comportements se valent, dès lors qu’ils ne provoquent pas directement la mort du prochain (sauf dans le cas de l’IVG), alors il ne suffit pas d’inscrire dans la loi la liberté de leurs exercices au grand jour ou de leurs revendications identitaires : il faut y préparer, il faut y éduquer les enfants.
    Daniel Borrillo, maître de conférences en droit privé à l'université Paris-X-Nanterre, a soutenu cette thèse aujourd’hui gouvernementale dans les colonnes du Monde, le 17 juin 2005 : “Dans les cours d'éducation sexuelle à l'école, on devrait présenter l'homosexualité comme une forme de sexualité aussi légitime que l'hétérosexualité. Par exemple dans les manuels scolaires, on devrait aborder l'homosexualité des personnages historiques ou littéraires naturellement, comme on le fait pour les personnages hétérosexuels.” […]
    C’est la position de SOS Homophobie, qui présente l’hétérosexualité comme une “construction culturelle” de l’histoire des hommes, issue des religions “du Livre” et contraire au droit fondamental de “l’orientation” librement choisie par chacun. Hors pression sociale, pour SOS Homophobie, “l’indifférentiation sexuelle” reste un principe psycho-somatique absolu dans la construction de notre personnalité. Un droit inaliénable de la personne humaine. Un potentiel où chacun peut choisir, en fonction des pulsions les plus secrètes et des rencontres de sa vie… Hétéro, homo, bi ou trans, rien n’est donné d’avance, deviens ce que tu es! L’éducation d’avant Mai-68, voyez-vous, engendrait de force la vocation maternelle de la fille comme elle construisait la virilité du garçon. C’est bien connu… Tellement connu que, depuis la nuit des temps, les sociétés humaines, malgré tous les progrès de la Science, n’ont pas trouvé d’autre moyen de se perpétrer!
    Pour SOS Homophobie, tous les manuels scolaires sont donc à réviser : “L'étude, au collège, de la citoyenneté en Grèce classique évince une distinction fondamentale entre pédérastie et homosexualité (…) Celle des grands mouvements contestataires (les suffragettes, mai 68...) n'aborde pas davantage le rôle occupé par les féministes et les lesbiennes.” Etc. […]
    Du Principe Libéral Avancé de Giscard (aligner la loi sur les mœurs) au triomphe homophile du gouvernement Fillion (chasser le droit naturel des manuels scolaires) il n’y avait qu’un pas, à l’aune des processus de décadance des civilisations. Le voici donc franchi… Que M. Nicolas Sarkozy ait la décence au moins de ne plus évoquer jamais les “méfaits de Mai-68” sur la conscience morale et civique des Français, quand le gouvernement dont il guide jour et nuit tous les pas s’emploie à les inscrire de force dans l’éducation des enfants! […]
    ©Emmanuel Barbier/Sedcontra, juillet 2008

    Pour lire l’article en entier, cliquez sur http://sedcontra.fr

  • il faut avoir des arrières pensées inavouables pour interroger ses amis sur leurs comportements sexuels ; on ne pénètre pas dans la sphère de la vie privée la plus intime de chaque personne. C’est une marque de respect des plus élémentaires.

    J'en ai bien conscience, Monsieur, et je vous prierai de ne pas me donner de leçons de respect, vous qui n'hésitez pas à placer, avec les autres intervenants de ce blog, l'Inquisition au-dessus de mes propos. Il se trouve seulement que mes amis ne se privent pas de me parler des personnes qu'ils aiment. En toute confiance et liberté. CQFD.

    Quant à l'Inquisition, je ne peux m'empêcher de trouver dans vos propos une très grande indécence.

    Questionner les fondements de votre propos n'est pas une tentative d'Inquisition. Cela s'appelle questionner des principes, chose qui vous rend, j'en ai conscience, extrêment frileux quand il s'agit des vôtres.

    L'agrégative (agregée maintenant, désolée pour ceux qui y voient la preuve de la décadence de l'Educ Nat) avoue sa perplexité. Et vous salue bien bas. Je vous laisse entre vous. Et vous souhaite d'arrêter de broyer systématiquement (le mot est pesé) toute tentative de critique, même respectueuse.

  • Nous sommes bien aise d’apprendre que P. est maintenant agrégée. Félicitations ! Il lui reste maintenant à apprendre à lire : cela lui permettra de commenter ce qui est écrit au lieu de commenter ce qu’elle imagine, et ensuite le français, cela lui évitera de questionner des principes.

  • Questionner un principe: mettre en question les principes qui sont les vôtres...sans menace aucune ("faire peur pour nous faire taire", loin de moi cette idée). Tant de "mauvaise foi" dans vos propos, abad!

    Je vous retourne un conseil: apprenez à défendre vos positions sans attaques personnelles et sans détours rhétoriques. Vous me semblez spécialiste de ce qu'Aristote appellerait de la "mauvaise chicane"...


    à nouveau sur l'Inquisition: merci de prévenir tout préjugé de ma part. Je m'en vais d'ici ravie d'avoir appris la justesse de cette Sainte Institution.


    Tenez-bon Messieurs! "Vous êtes les derniers" de votre espèce (citation sans ironie aucune)...!

  • A P. : Puisque vous avez pris la peine de me répondre, permettez-moi de vous répondre à mon tour. Il n’y avait aucune mauvaise foi dans ma remarque sur la faute de français dans l’expression «questionner des principes». Croyez-moi, c’est sans aucun esprit de persécution que je relève ces fautes. Simplement je suis inquiet lorsque quelqu’un, et qui plus est, une jeune agrégée de philosophie, ne s’efforce pas d’utiliser correctement sa langue. La langue, bien utilisée, dans toute sa richesse et toutes ses subtilités, avec justesse, précision et fidélité, est un outil indispensable pour penser correctement ; comme un microscope, elle permet d’analyser très finement sa pensée. Mal l’utiliser est comparable au biologiste qui se sert mal de son microscope : il ne voit que des artefacts et prend des vessies pour des lanternes. Il n’y a jamais loin entre s’exprimer mal et penser faux.
    Cordialement.

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