Deux « Lesbiennes », c’est-à-dire deux habitantes de l’île grecque de Lesbos, et un « Lesbien », Dimitris Lambrou, rédacteur en chef du magazine historique nationaliste Davlos, demandent à la justice d’interdire à l’Union grecque des homosexuels et lesbiennes de continuer à porter ce nom.
Les 250.000 authentiques Lesbiens et Lesbiennes sont victimes d’un « viol psychique et moral » du fait de la « confiscation » du mot par les homosexuelles, souligne Dimitris Lambrou.
Le mot lesbienne est utilisé dans toutes les langues depuis quelques décennies pour désigner les homosexuelles, en référence à Sappho, la célèbre poétesse de Lesbos du VIIe siècle avant Jésus-Christ. Car, plusieurs siècles après sa mort, on a dit qu’elle avait eu des relations sexuelles avec ses étudiantes. Mais, souligne Dimitris Lambrou, de récentes recherches ont démenti ces allégations : Sappho avait une famille, et s’est suicidée par amour pour un autre homme.
Le procès doit se tenir le 10 juin à Athènes.
(En titre du magazine Davlos: "Requête lesbienne (= de Lesbos) contre "lesbienne" (= homosexuelle)".)
Commentaires
Très bonne initiative de ces Lesbiens. Compte tenu du climat actuel et du « moralisme » des mondialistes, ce ne serait que justice d’interdire l’usage de ce mot par les lobbies homosexuels.
Il en de même de Socrate qui n'était pas homosexuel.
Il semble que l'on veuille "enrôler" mensongèrement et diffamatoirement beaucoup de célébrités historiques dans l'homosexualité.
D'accord avec les Lesbiennes et le Lesbiens ! Justice pour eux !