Hu Jia, condamné le 3 avril à trois ans et demi de prison pour « tentative de subversion du pouvoir de l’Etat », n’a pas pu faire appel. Il avait dix jours pour le faire, mais ses avocats ont été empêchés de lui rendre visite.
Le « crime » (sic) de Hu Jia est d’avoir écrit notamment à l’intention des Occidentaux qui se rendraient aux Jeux Olympiques : « Vous ne savez peut-être pas que cet enthousiasme, ces sourires, cette harmonie et cette prospérité sont fondés sur l’injustice, les larmes, l’emprisonnement, la torture et le sang. »
Commentaires
Il paraît que le pouvoir d'Etat chinois avait promis de faire des efforts pour les droits de l'homme, en échange des JO chez lui. C'est raté ou alors qu'est-ce que cela devait être avant !