Les premières statistiques de l’avortement légalisé au Portugal prouvent, sans surprise, que les partisans de la culture de mort avaient menti sur le nombre des avortements clandestins. Le directeur de la Santé reconnaît lui-même que le problème n’avait pas la dimension « que nous pourrions avoir imaginée ». C’est à lire sur le blog de Jeanne Smits.