Acathiste à la Mère de Dieu, strophe IV
La puissance du Très-Haut couvrit alors de son ombre celle qui n’a pas connu le mariage, afin de pouvoir concevoir. Ainsi son sein fertile s’est avéré un champ agréable à tous ceux qui veulent y moissonner le salut, en psalmodiant : Alléluia !
Alléluia, Alléluia !