Titre du Figaro : « Les infarctus en baisse de 15% depuis l’interdiction du tabac ».
En un mois et demi, l’interdiction de fumer au bistrot a déjà entraîné une baisse de 15% des infarctus et accidents cérébraux. Selon une « étude » du Pr. Bertrand Dautzenberg, « mandaté » par le ministère de la Santé pour… raconter n’importe quoi.
Cela aussi, c’est une première : évaluer l’impact d’une mesure sur la santé un mois et demi après sa mise en application. De quoi faire hurler de rire tous les scientifiques non « mandatés ».
Le hic, c’est qu’on n’avait rien constaté de tel après l’interdiction de fumer dans les lieux publics et les bureaux. Mais le Pr Dautzenberg a réponse à tout : « Cela montre que le secteur des cafés et restaurants était un vecteur important du tabagisme passif », dit-il.
Tandis que le bureau, ou le salon, où quelqu’un fume, ne l’est pas, sans doute.
D’autre part, les ventes de tabac sont restées stables.
Cela voudrait donc dire que le tabagisme passif est beaucoup plus dangereux que le fait de fumer, mais seulement dans les bistrots. Ce qui est totalement absurde.
Vive la science de Big Brother.
Commentaires
C’est digne du trou d’ozone et de l’effet de serre ! Comme pitre ce professeur Dautzenberg n’a rien à envier à Al Gore !
Je ne sais pas si le professeur Dautzenberg a arrêté la cigarette, mais là il est claire qu'il tente de nous enfumer...
Arggggggggggg mon cœur!
je fais une attaque
Il faudrait interdire la co**erie!
Il faut noter que dans le fameux rapport cité par tout le monde et Dautzenberg, qui arrivait à 6000 morts du tabagisme passif en y incluant les fumeurs actifs eux mêmes, il été écrit qu'il à 107 morts non-fumeurs dans les entreprises dont seulement 6 dans les cafés-restaurants bar-tabacs. S'il y a donc 6 fois plus de morts dans les entreprises que dans les bars-restaurants, comment expliquer qu'on sauvent tellement plus de vies dans ces derniers?
Puisque les cigarettes restent en vente libre, pouquoi ne pas avoir autorisé de fumer dans les bars-tabac seulement ? Résultat : certes, au restau ou au café, c'est bien plus agréable qu'avant la loi mais certains "convives" se lèvent et dérangent les autres en plein repas pour aller se livrer à leur vice dans la rue et, plus ennuyeux, sur les terrasses extérieures, les fumeurs se rassemblent au détriment des non fumeurs.
"Ils nous prennent pour des demeurés"
Quand on lit ce blog ... c'est irrésistible.