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L’enfantement de la Mère de Dieu

8e ode de l’Acathiste à la Mère de Dieu

L’enfantement de la Mère de Dieu sauva les Saints Enfants de la fournaise, qui le préfiguraient ; devenu réalité à présent, il rassemble tout l’univers pour chanter : Louez le Seigneur, vous ses œuvres, et exaltez-le dans tous les siècles.

Très sainte Mère de Dieu, sauvez-nous.

Ô Pure, vous avez reçu le Verbe dans votre sein ; vous avez porté celui qui porte l’univers et nourri de votre lait celui qui, d’un signe, nourrit l’univers entier. C’est à lui que nous chantons : Louez le Seigneur, vous ses œuvres, et exaltez-le dans tous les siècles.

Très sainte Mère de Dieu, sauvez-nous.

Ô Vierge sainte, exempte de toute corruption, le buisson ardent fit comprendre à Moïse le grand mystère de votre enfantement, les Enfants le préfigurèrent très clairement lorsqu’ils se tinrent debout au milieu du feu sans en être brûlés. C’est pourquoi nous vous louons dans tous les siècles.

Très sainte Mère de Dieu, sauvez-nous.

Nous, que la fraude avait jadis dépouillés, nous avons revêtu, par votre conception, la robe de l’incorruptibilité. Assis dans la nuit de nos fautes, nous avons vu la lumière, grâce à vous, ô Vierge, habitacle de la lumière. C’est pourquoi nous vous louons dans tous les siècles.

Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit.

Ô Vierge, salut des mortels, par vous les morts ressuscitent, car vous avez mis au monde la vie en personne, les muets recouvrent la parole, les lépreux sont purifiés, les maladies sont chassées et la nuée des esprits errants dans les airs s’avère vaincue.

Maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen.

Salut, ô pure toute bénie, qui avez enfanté au monde le salut, et par lequel nous avons été élevés de terre. Ô protection, soutien, rempart, et citadelle de ceux qui chantent : Louez le Seigneur, vous ses œuvres, et exaltez-le dans tous les siècles.

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