François Fillon a chargé Michèle Tabarot (député UMP, présidente du Conseil supérieur de l’adoption) d’une mission sur le développement de l’offre d’accueil de la petite enfance, en prévision de l’instauration d’un droit opposable à la garde d’enfants (annoncé par Xavier Bertrand le 7 février).
Michèle Tabarot doit réfléchir « sans tabou », mais avec deux impératifs : assurer la sécurité et l’épanouissement des enfants et favoriser la maîtrise des dépenses.
Eh bien, la solution est toute trouvée : c’est dans la famille que sont assurés la sécurité et l’épanouissement des enfants, pour un moindre coût.
Commentaires
Sans tabou, c'est-à-dire sans respect pour la parenté.
Oui, mais si les parents veulent mettre leur enfant à la crêche (parcequ'ils veulent travailler, tout simplement) ?
Les crêches sont les vecteurs d'un grand nombre de malaldies. Si bien que les enfants sont toujours malades du fait de la crêche.
Effectivement un jeune enfant est bien mieux dans sa famille que dans une crêche. Le problème, c'est qu'il faut que les deux parents travaillent pour vivre à peu près décemment.