Communiqué de Wallerand de Saint Just, vice président du Front National
En 2007, il n’y jamais eu autant de voitures brûlées à tel point que le gouvernement a du maquiller les chiffres de la nuit de la saint Sylvestre. Pour mieux cacher son impuissance, il imagine de faire indemniser les malheureux et souvent modestes propriétaires de ces voitures par un fond spécial, c'est-à-dire par le contribuable. Cette loi sur la protection des victimes, en discussion à l’heure actuelle, est pavée de bonnes intentions, mais elle est infernale : elle sera, en vérité, un encouragement à la délinquance.
Commentaires
Ma voiture a aussi été brûlée, il y a deux ans environ, comme elle n'était pas assurée (voiture sans valeur marchande), j'en ai été quitte pour acheter une autre voiture, sans compter les tracas pour faire évacuer l'épave (mais à qui s'adresser ?) et découvrir après moult coups de fil et tentatives d'escroqueries des dépanneurs qu'il fallait demander à la mairie de bien vouloir évacuer l'épave, moyennant cession gratuite (de l'épave) à la municipalité.
Une loi pour indemniser les victimes ? Ce sera nous qui paierons pour les "jeunes" et de plus les escrocs vont s'en donner à coeur triste.
Au fait, il y a quarante ans, il n'y avait pas de voiture brûlée, pourquoi : chut les magistrats veillent à ce que l'omerta soit assurée. Ces actes gratuits de vandalisme n'existaient pas. Pourquoi ? ne le demandez surtout pas !
Cette loi va donc "entériner" le fait q'on crâme des voitures, c'est devenu banal et nul ne songe que ça devrait cesser complètement ! Quel monde fou de lâches et d'assassins qui s'en prennent non pas aux vrais coupables pour les punir très sévèrement et ou les expulser mais aux petits contribuables, aux vaches à lait d'automobilistes et motocyclistes.Je vois même des agents verbaliser des scooters garés sur le trottoirs où ils ne gènent pas les passants : à quand le parking payant pour vélos et cyclos ?
Mais Louis, on crâme je ne sais combien d'enfants par jour dans les déchets hospitaliers, alors des voitures...
Tout ceci vise à banaliser ces violences qui, effectivement n’avaient pas cours il y a 40 ans. Mais il faut reconnaître que la population a beaucoup changé.
A Barbara : on ‘crame’ un peu plus de 650 enfants par jour ! Et c’est aussi payé par nos impôts. La culture de mort n’est pas un vain mot.