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Budget 2008 : où est la « rupture » ?

Communiqué de Jean-Marie Le Pen

Le premier budget de l’ère Sarkozy est un budget de routine, fondé comme d’habitude sur des hypothèses « optimistes », sans pour autant que soit prévue une réduction visible de la dette et des déficits.

C’est l’immobilisme qui prime, et l’on ne relève aucune prise de conscience que la France est « en situation de faillite », selon l’expression du Premier ministre.

Bref, ici comme ailleurs, on cherche en vain la « rupture ».

Commentaires

  • J'ai bien peur que ce soit la faillitte qu'ils cherchent, la mise en faillitte de l'entité nationale...
    Ils ne veulent pas vraiment apurer la situation, nationale, ils préfèrent charger la barque pour mieux la couler. Couleront avec les engagements de la république à sa nation, les 'mauvaises dettes'...
    Laissez les comptes se plomber, puis "réagir", réagir bien sûr, "gràce à l'Europe"...
    L'hypothèse Ségolène Royal eût été rigoureusement identique, pour ce mécanisme là.

    Plomber la nation par les finances, aussi...
    Et c'est tellement agréable de ce défausser, financièrement, sur cet 'âne' là... Charger la mûle dont on sait qu'on va la balancer. Y bien gaver les créances douteuses, celles que même le marché ne rachète plus, tout contents...
    Pardonnez moi cette lourdeur, mais... ah les cons.

  • Excellente analyse de J-M Le Pen, comme d'habitude. Et, aussi, hélas, comme d'habitude, des budgets déséquilibrés, mis en place par des gens plus préoccupés de leurs carrières que de l'avenir de notre pays.

    En examinant de plus près, on s'aperçoit que pour 2008, le gouvernement prévoit un déficit du budget de l'Etat de plus de 40 milliards d'Euros (qui viendront donc gonfler la dette), ainsi qu'un déficit commercial record.

    Cette dette énorme devrait être "dé-abstraitisée", et chaque foyer fiscal devrait avoir un compte d'état, a son nom, avec le montant qu'il doit rembourser. Les Français regarderaient peut-être alors à deux fois avant de voter, et écouteraient plus attentivement les présentations budgétaires.

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