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Ad te levavi oculos meos

Vers toi j'ai élevé mes yeux, toi qui habites dans les cieux.

Ainsi, de même que les yeux des serviteurs sur les mains de leurs maîtres,

De même que les yeux de la servante sur les mains de sa maîtresse, de même nos yeux sont vers le Seigneur notre Dieu, jusqu'à ce qu'il ait pitié de nous.

Aie pitié de nous, Seigneur, aie pitié de nous, car nous sommes rassasiés de mépris,

Car notre âme n'est que trop rassasiée d'être un sujet d'opprobre pour les riches, et de mépris pour les superbes.

(Psaume 122, quatrième cantique des degrés, à sexte. Dans le texte liturgique, celui de la Vulgate, le mot mépris est « despectio » : ce mot est littéralement l’action de regarder d’en haut vers le bas, « regarder de haut », donc le contraire du regard vers le haut, qui élève vers Dieu.)

Commentaires

  • Et dire que Monsieur Sarkozy se dit gaulliste !

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