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Jean-Marie Le Pen et le cardinal Lustiger

Communiqué de Jean-Marie Le Pen

Avec la mort du cardinal Lustiger se tourne une page de l’histoire épiscopale de la France.

Il ne m’appartient pas de juger des qualités ecclésiastiques et religieuses de cette haute personnalité de l’Eglise.

Mais je souhaite qu’en tournant la page on cesse d’accabler le Front national et son président des calomnies qui furent véhiculées par cet épiscopat sous l’autorité morale de Jean-Marie Lustiger.

Celui-ci, qui pourtant m’avait reçu, osait qualifier le Front National de « résurgence du paganisme le plus cynique et le plus dangereux », alors que son programme est le plus proche de la doctrine sociale de l’Eglise, et que Jean-Paul II nous avait dit place Saint-Pierre : « Il faut lutter contre la décadence de l’Europe ».

Au lendemain du 21 avril 2002, il m’accusait encore de « détourner les convictions religieuses au service de la polémique électorale », ce qui n’était le cas en aucune manière.

Tournons donc la page, en nous souvenant de cet autre propos du cardinal, dans lequel nous nous retrouvons : « Que les Français puissent renier, ou même ignorer la part chrétienne de leur identité, est suicidaire pour l’image internationale de la France.  »

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