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Une malade assassinée ? Vive l’euthanasie !

Le procureur de Villefranche-sur-Saône a confirmé une information du Progrès, selon laquelle une femme a été mise en examen pour assassinat après avoir mis, selon elle, « un terme aux souffrances » de sa mère, atteinte de sclérose en plaque, qu’elle a étouffée avec une couverture. « Les éléments que nous avons recueillis auprès de l’entourage de la victime ne semblent pas monter qu’elle a manifesté une quelconque disposition à mourir », constate le procureur.

Néanmoins, l’ADMD (association prétendument pour le droit de mourir dans la dignité) a aussitôt publié un communiqué, pour signifier qu’il est « urgent que le nouveau président de la République ouvre le débat sur la fin de vie qu’il avait promis dans une lettre à la présidence de l’ADMD », car « ces faits répétitifs (?) mettent une nouvelle fois en lumière l’évidente nécessité de légiférer sur la question de l’euthanasie active ».

Le communiqué est tellement intempestif que le président de ce lobby de l’euthanasie, Jean-Luc Romero (par ailleurs lobbyiste de l’homosexualité), a cru nécessaire de calmer ses troupes, en déclarant que « dans une affaire dont l’instruction débute, il est sage de laisser les magistrats travailler sérieusement »...

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