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Vanneste : la « justice » persiste et signe

La cour d’appel de Douai a confirmé la condamnation du député Christian Vanneste à 3.000 euros d’amende pour « injure envers les homosexuels », et a ajouté 500 euros aux 3.000 euros de dommages et intérêts à verser à chacun des trois lobbies homosexuels qui avaient porté plainte.

Christian Vanneste était poursuivi pour avoir répété ce qu’il avait dit à l’Assemblée nationale, au moment de la discussion de la loi qui allait permettre de le condamner : « L’homosexualité est inférieure à l’hétérosexualité. Si on la poussait à l’universel, ce serait dangereux pour l’humanité. »

Il est interdit de dire cela. Il est donc également interdit de commenter un tel jugement. On n’en pense pas moins, et aucune loi ne pourra empêcher la liberté de l’esprit. Ni la vérité d’être la vérité.

Commentaires

  • Et si les Evêques,comme Barbarin de Lyon,primat des Gaules,et non des émirats arabes....organisait une quête officielle dans les Cathédrales de France pour payer les amendes de dommages et intérêts,qui vont remplir les caisses d'assocs anti-famille.

    Mr.Vanneste doit être officiellement soutenu par le clergé,s'il en ont le courage et s'ils ont encore la Foi.

  • Ce qui est certain, c'est que la prise de position de M. Vanneste a permis de constater, une fois de plus, que la langue française peut être comprise et interprétée de multiples façons, selon le niveau intellectuel, social ou religieux !
    Etant donné, que les mots employés par Christian Vanneste aient été rapportés en sa qualité de député lors d'une discussion à l'assemblée nationale, je ne comprends pas cette censure faîte à un député de la Nation ! Si ce député n'est plus en accord avec le peuple, il a la possibilité d'être sanctionné lors des élections légisilatives, et non par les politiques ou la justice française.
    Aussi, beaucoup de députés ou sénateurs pourraient être poursuivis et condamnés par la justice pour des propos infamants voire insultants proférés lors des discussions au sein de l'assemblée nationale ou du sénat ; la justice française devrait alors créer spécialement une cellule ou un tribunal des deux chambres pour régler tous les litiges causés par les élus de la Nation !

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