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Marie-Ségolène dans le texte

A propos de la punition infligée à l’insolent petit Montebourg : « Quand le moment vient, je rétablis de l’ordre juste, j’exerce mon autorité juste, sans laisser passer un certain nombre de choses. » Et elle montre que pour rétablir « de l’ordre juste » il faut une justice rapide. Comme en Chine.

Vous n’avez pas bien compris ? Alors elle remet ça : « J’entends exercer ma juste autorité, dans le cadre du respect de chacun et d’un ordre juste. »

L’ordre juste, c’est l’ordre ségolénien. Et les éléphants et les éléphanteaux n’ont qu’à bien se tenir. La mère Fouettard entre en action : « Même si quelques-uns rechignent, ricanent, se moquent de moi, il faut aussi qu’un certain nombre d’hommes acceptent l’autorité différente d’une femme, c’est pas forcément facile, il va bien falloir qu’ils s’y habituent. »

En conclusion, elle va continuer « avec une force souriante tranquille ». C’est pas joli, ça ? Et il est interdit de dire que son sourire artificiel permanent est de plus en plus crispé. Car c’est le sourire de l’ordre juste. Et implacable.

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