J’ai attendu pour être sûr… Et rien n’est venu…
Le 15 mai, le Premier ministre slovaque Robert Fico était victime d’un attentat (aux dernières nouvelles sa vie n’est plus en danger). Les évêques de l’Eglise orthodoxe slovaque ont aussitôt condamné cet acte et assuré le Premier ministre de leurs prières. Les évêques catholiques, tant latins que grecs-catholiques, sont restés muets. Manifestement pour la raison que ce serait mal vu qu’ils montrent une quelconque compassion envers un dirigeant conspué par la pensée unique parce qu’il est patriote, pour la famille et pour la paix.
Voici le communiqué des évêques orthodoxes :
C'est avec inquiétude et douleur que nous avons appris aujourd'hui la nouvelle de la tentative d'assassinat du Premier ministre de la République slovaque. Il s'agit d'un acte horrible, inacceptable et incompréhensible que nous condamnons fermement. En tant que chrétiens, nous prions à chaque office pour notre pays, ses dirigeants et toutes les personnes qui y vivent. En ce moment, en plus de nos pétitions habituelles, nous ajoutons des prières pour la vie et le prompt rétablissement de l'un des plus hauts représentants de la République slovaque, le Premier ministre Robert Fico. Nous demandons à tout le clergé et à tous les fidèles de l'Église orthodoxe de Slovaquie de participer à cette prière et nous y invitons tous ceux qui n'élèvent pas la valeur de leur propre opinion au-dessus de la valeur de la vie humaine et qui se souviennent des paroles de notre Sauveur : « Tous ceux qui prennent l'épée périront par l'épée : Tous ceux qui prennent l'épée périront par l'épée (Mt. 26:52).
Commentaires
"J’ai attendu pour être sûr… Et rien n’est venu…"
Le miracle ne s'est pas produit? Pourquoi? N"avons-nous pas assez prié? Ou parce que Dieu laisse libre de choisir le bien ou le mal, le courage ou la lâcheté, la soumission ou la résistance au monde? Décalage horaire? Attente de l'autorisation de Biden?
Pourtant les hommes politiques ont condamné cet attentat (même les commanditaires)
C'est l'église globaliste. Alors, elle se tait. C'est ce q'on attend d'elle.
"et [...] tous ceux qui n'élèvent pas la valeur de leur propre opinion [politique] au-dessus de la valeur de la vie humaine" Belle invitation à hiérarchiser les priorités en ce sens.
@Luc'
Pourquoi pas "Je suis la vie, la vérité, la voie", au lieu de "Je suis la voie, la vérité, la vie."
La vie est au-dessus de l'opinion mais sûrement pas de la vérité. Par contre la voie est au-dessus même de la vérité, quand la voie est le Christ.